A visual travelogue-cum-dialogue between two giants of modernist photography.
This publication presents a dialogue between the Mexican photographs of Helen Levitt (1913-2009) and those of Henri Cartier-Bresson (1908-2004). The two photographers first met in New York in the spring of 1935; Cartier-Bresson had just spent a year in Mexico, while Levitt had only just embarked on the portraits of New York street life for which she would become celebrated. Levitt was enthralled by the Frenchman's Mexican photographs, which she saw at the exhibition Documentary & Anti-Graphic Photographs at the Julien Levy Gallery that same year. In 1941, fascinated by Cartier-Bresson's work, Levitt decided to visit Mexico with Alma Agee, wife of novelist James Agee, and their son Joel. Throughout her long photographic career, this was Levitt's sole trip abroad. This volume gathers around 60 prints by Cartier-Bresson and Levitt, as well as documents retracing their respective steps in Mexico.
Les vies des documents - La photographie en tant que projet est le premier d'une trilogie de projets de recherche et d'exposition produits par le CCA sur le médium de la photographie, entre oeuvre d'art, outil de recherche et document, comme moyen d'investigation de l'environnement bâti. Organisé par Bas Princen et Stefano Graziani, ce projet vise à disséquer la pratique d'artistes et de photographes dont le travail a contribué à définir les étapes de transformation de la discipline au cours des cinquante dernières années sur des sujets spécifiques, de la notion de paysage à la complexité de l'archive en tant que format de projet, entre autres. Il adopte l'idée du documentaire comme une qualité intrinsèque du langage photographique et questionne la pertinence et l'actualité de la photographie comme moyen d'interroger notre environnement et d'interpréter les mécanismes qui façonnent notre monde visible. Photographes : Lara Almarcegui; Lewis Baltz; Gabriele Basilico, Stefano Boeri; Bernd and Hilla Becher; Lynne Cohen; Luigi Ghirri; Dan Graham; Jan Groover; Guido Guidi; Naoya Hatakeyama; Takashi Homma; Roni Horn; Douglas Huebler; Annette Kelm; Gert Jan Kocken; Aglaia Konrad; Susanne Kriemann; Sol LeWitt; Armin Linke; Ari Marcopoulos; Gordon Matta-Clark; Richard Misrach; Marianne Mueller; Bruce Nauman; Michael Schmidt; Thomas Struth; Tokuko Ushioda; Jeff Wall; Marianne Wex.
Tillmans' photographic explorations of human connection and tangibility in dialogue with our new virtual presen.
The observation of people--their bodies, movements, relation to surroundings--lies at the core of the diverse oeuvre that German photographer Wolfgang Tillmans (born 1968) has amassed over the past three decades. Today, these haptic relations and interactions are undergoing massive shifts in light of the COVID-19 pandemic and technological change, as the necessity of social distancing and the migration of everyday life into virtual space transforms how we interact with one another.
Wolfgang Tillmans: Sound Is Liquid reflects on the photographer's oeuvre against the backdrop of these societal developments. Accompanying an exhibition at the Museum Moderner Kunst Stiftung Ludwig (MUMOK) in Vienna, Austria, this catalog features a wide selection of Tillmans' work from his early photographs produced in the pop-culture milieu of the 1990s to his acclaimed photographic abstractions, his high-resolution images of the globalized and digitalized reality of the early 21st century, and photos taken shortly before and during the coronavirus pandemic.
Ce n'est que dans les années 1990 que Louise Bourgeois a acquis une reconnaissance mondiale pour ses réalisations artistiques, devenant célèbre pour ses sculptures monumentales. Mais c'est grâce à ces premières peintures à l'huile que l'artiste a d'abord développé le vocabulaire formel et défini la thématique des préoccupations qu'elle continuerait d'explorer. Dans cette publication s'étendant sur six décennies, elle a réussi à exprimer des impulsions contradictoires et des oppositions binaires comme figuration et abstraction, masculin et féminin, conscient et inconscient, ??au sein d'une seule et même oeuvre. Ce catalogue accompagne la première grande exposition personnelle de Lousie Bourgeois en Europe consacrée à ses peintures au 22 September 2023 - 28 January 2024 au Belvédère à Vienne.
Carla Juaçaba développe sa pratique indépendante de l'architecture et de la recherche depuis 2000 à Rio de Janeiro, au Brésil. Son bureau participe actuellement à des projets publics et privés axés sur le logement et les programmes culturels. Elle a travaillé avec l'architecte Gisela Magalhães, principalement dans des expositions liées aux arts indigènes brésiliens et aux musées historiques. Parmi ses premières oeuvres, elle est connue pour une série de maisons - Rio Bonito (2005), Varanda (2007), Minimal (2008) et Santa Teresa (2014) - des scénographies d'exposition et surtout le pavillon éphémère appelé Humanidade, à Rio de Janeiro, conçu avec la scénographe et metteur en scène Bia Lessa conçu pour la conférence des Nations Unies à Rio de Janeiro en 2012. Elles ont créé un pavillon temporaire fait d'échafaudages récupérés dans les chantiers alentour, et surmonté de la phrase "The Future we Want". Elle a également été invitée à la Biennale d'architecture de Venise 2018 avec le projet Ballast et a construit l'une des chapelles du Vatican.
New constructions and historic renovations, from the winners of the 2015 Mies van der Rohe Award for Emerging Architecture Arquitectura-G is a Barcelona-based architectural studio (established in 2006) working with a broad foundation of experience in renovation of historical architecture. In recent years, they have also undertaken new construction projects, including four stores for the fashion brand Acne (Nagoya, Stockholm, New York and Paris).
A stylishly designed survey worthy of Christ & Gantenbein's sleek and sophisticated structures
For the first time, Swiss architecture firm Christ & Gantenbein present a comprehensive catalog of their work. The three-volume monograph captures their architectural endeavors from 1998 to 2023, including an annotated retrospective of the design, planning and execution of over 160 projects.
Le cabinet d'architecture BAST, basé à Toulouse, utilise l'assemblage, le montage, la superposition de couches de façade et de structures en collision pour remettre en question l'unité structurelle. Ce numéro de la revue 2G est consacré à leur travail, présentant certains de leurs projets emblématiques.
Ce catalogue rassemble les travaux de Carrie Mae Weems, la lauréate du prix de Hasselblad en 2023, grâce à ses nombreuses oeuvres, telles que "Family Pictures and Stories" (1978-84), "Kitchen Table Series" (1990), et "From Here I Saw What Happened and I Cried" (1995-96). Avec un regard intersectionnel sur l'histoire et la politique, Weems questionne dans ses oeuvres le rôle du photographe, en traitant les questions de genre, race et classe dans ses oeuvres.
Johansen Skovsted Arkitekter est un bureau d'architecture basé à Copenhague, fondé par Søren Johansen (né en 1981) et Sebastian Skovsted (né en 1982) en 2014. Ils ont tous deux étudié l'architecture à la Royal Danish Academy, où ils ont également enseigné de 2015 à 2021. Depuis sa création, ils ont abordé différentes typologies, telles que les pavillons, la réhabilitation des bâtiments historiques, différentes interventions dans le sanctuaire d'oiseaux de Tipperne, le bureau et l'entrepôt du CODAN, et les installations muséales, toutes construites au Danemark. Leurs oeuvres présentées dans ce numéro 2G nous parlent de temps de construction lents, étrangers à la vitesse d'Instagram, d'images élaborées lentement qui sont capables de pénétrer à la fois toute la traduction constructive locale et le paysage, qu'il soit naturel ou urbain, auquel ils appartiennent. Et parmi toutes les combinaisons de genres et d'influences mutuelles, l'architecture de Johansen Skovsted se présente comme une réponse intelligente aux défis actuels, capable de se connecter à la contemporanéité sans renoncer à ce qui n'était pas si longtemps connu comme genius loci.
En 2019, Agustin Fiorito est devenu architecte associé du cabinet, inaugurant en même temps le siège d'adamo-faiden à Montevideo, en Uruguay. Sorti des ruines du corralito argentin et après être allé étudier et travailler en Europe, le retour en Argentine après la crise signifiait pour adamo-faiden une reformulation de leur rôle d'architectes dans le nouveau contexte social argentin. Dans la recherche de nouveaux programmes et de nouvelles opportunités de travail, la typologie de l'immeuble résidentiel et de bureaux a permis au studio de construire ses premiers travaux, dans lesquels ils sont intervenus en tant qu'architectes et constructeurs. Depuis lors, d'autres ont été ajoutés à cette typologie éprouvée qui ont consolidé adamo-faiden comme l'un des studios de référence dans le continent sud-américain. Cette publication comprend leurs travaux récents, des maisons familiales et des extensions de bâtiments résidentiels, immeubles de bureaux, clubs sociaux et bâtiments commerciaux, certains en collaboration avec d'autres studios internationaux tels que les américains MOS ou le suédois Arrhov Frick.
Fruit d'une collaboration entre arc en rêve centre d'architecture, Garagem Sur à Lisbonne et Z33 à Hasselt en Belgique, ce livre est l'aboutissement d'un projet qui a mobilisé des équipes des trois institutions pendant deux ans. Avec des contributions d'experts dans le domaine, des études de cas sélectionnées et la documentation des itérations de cette initiative, ce livre vise à devenir une référence dans le débat actuel sur les espaces d'apprentissage. Il renforce la vision optimiste partagée par tous les participants à ce projet : l'éducation publique est un fondement commun de l'Europe contemporaine, et les bonnes solutions architecturales peuvent renforcer et multiplier son pouvoir.
L'enseignement public a été la pierre angulaire de l'édification de la nouvelle Europe, qui a émergé des ruines de la Seconde Guerre mondiale. En fait, jusqu'en 1989, l'attention accordée à la pédagogie pouvait être considérée comme l'un des rares aspects communs entre les pays appartenant aux anciens blocs capitaliste et communiste : dans les deux cas, l'accès à des écoles gratuites et l'extension progressive de l'enseignement obligatoire étaient considérés comme des outils cruciaux pour former le citoyen idéal .
À partir de l'après-guerre, un nouveau sujet émerge dans tous les pays industrialisés : l'adolescent. Ce personnage, qui n'avait jamais existé auparavant, n'est plus un enfant, mais n'est pas encore un adulte, bien qu'il soit officiellement reconnu comme tel depuis qu'il a atteint l'âge de 18 ans (dans de nombreux pays, à la fin des années 1960, le droit de vote a été ramené de 21 à 18 ans). En particulier dans l'Occident aisé, cette nouvelle subjectivité chevauche les classes sociales. L'idéologie, le style de vie et les goûts convergent en une étrange concoction de consumérisme et de rébellion. La manière d'éduquer massivement les adolescents devient une question cruciale en politique : tandis que l'âge du droit de vote est abaissé, l'enseignement obligatoire est prolongé dans de nombreux pays. C'est le moment où le lycée, qui n'est, jusqu'au début des années 1950, qu'un lieu de reproduction des élites bourgeoises, s'entend et se généralise, pour prendre un tournant décisif dans la vie de chaque adolescent. L'approche disciplinaire héritée du XIXe siècle, telle qu'analysée par Michel Foucault, perd de son emprise, érodée par la profonde contestation de 1968, puis remplacée par de nouvelles méthodologies expérimentales d'éducation collective.
Giancarlo de Carlo first visited Urbino in 1951 to carry out a minor refurbishment of the offices of the rector of the University. This was the beginning of his lifetime engagement with the small town where he continued working over the next five decades. This book is part of the "Everything without Content" series by Kersten Geers, Jelena Pancevac and Joris Kritis, and it presents the work Giancarlo de Carlo built in Urbino in the 1960s and 70s, in the shadow of his involvement in Team 10 debates that challenged modernist doctrines on architecture and urbanism. The eight buildings in this book are presented in drawings by students of the Academy of Architecture USI, Mendriso, and photographs by Stefano Graziani.
A reexamination of an exiled German artist's final works at war's end.
German draughtsman George Grosz (1893-1959) created his last major series of paintings and watercolors, the «Stick Men», beginning in the mid-1940s in reaction to the Holocaust and the other atrocities of the Second World War. The deployment of atomic bombs in Japan and the threat of a Third World War further deepened what the artist termed his «despair, hate and disillusionment.» In his final works, he drew his figures as dehumanized, famished beings aimlessly wandering through a contaminated, post-apocalyptic world. As the first exhibition of the «Stick Men» series following the artists' death, this catalog contradicts the notion that Grosz had become «soft» and apolitical during his years spent in the United States. Rather, this series is the culmination of the political and artistic convictions of a lifetime of struggle: a timely and relevant legacy even today.
Ce catalogue accompagne l'exposition à la State Tetriakov Gallery dédiée à l'art de Mikhail Larionov, célèbre représentant de l'avant-garde russe du début du XXe siècle. Il comprend de nombreux articles sur différents aspects de son art comme la peinture et le dessin mais aussi le théâtre des périodes russe et française. Il aborde également le travail de Larionov en tant que commissaire d'expositions et fédérateur de groupes artistiques et consacre une sélection spéciale à sa collection personnelle.
Previously unseen early works from the Weimar Republic's greatest chronicler and satirist.
This volume is dedicated to the early life and career of the brilliant young artist Georg Ehrenfried Gross (1893-1959), who would later become known as George Grosz. Known for his politically charged paintings and caricatural depictions of Berlin life in the 1920s, the youthful Gross had a long way to go before changing his name and becoming the most popular and sharp-tongued chronicler of the Weimar Republic. Gross made his first oil paintings in 1912 while still a student, and by 1914 was working in a style deeply influenced by Expressionism, Futurism and popular illustration. Presenting over 50 works made between the years 1904 and 1917, all but a few exhibited for the first time ever, the inaugural exhibition of Das kleine Grosz Museum, and this accompanying catalog, trace the artistic and biographical trajectory of this great artist's journey.
Collages that use splitting and doubling to reflect on the duplicitous figure of the uncanny.
British artist John Stezaker (born 1949) cuts out actors in publicity photos and pastes the remainder onto a dark ground to create hollowed-out silhouettes. The works in this collection superimpose one negative silhouette on top of another in a way that transforms both.
Movement Notation is considered the first publication of the "Eshkol- Wachman Movement Notation" (EWMN), developed by Noa Eshkol and Abraham Wachmann. With this polyphonic notation system, Eshkol and Wachmann centered dance on its basic element: the movement of the human body. They treated the different parts of the body as separate instruments, similar to the musical instruments of an orchestra - each with its own rules for performing movement. This new edition of the 1958 publication is supplemented with contributions from Eshkol's collaborators and additional archive material, which contextualizes and expands on the genesis of the EWMN and embeds it in contemporary discourses on dance and movement.
Contemporary artworks and archival documents celebrating 500 years of anticolonial activism This volume illuminates 500 years of anticolonial resistance in the Global South, examining colonial violence and oppression and its ongoing repercussions, and paying homage to the people who resisted it in various ways and whose stories have hardly ever been told or heard to this day. The works of more than 40 contemporary artists from the Global South and the diaspora tell stories of rebellion and war, violence and trauma as well as survival and resilience. Their stories are complemented by historical documents and numerous objects from the RJM collection in Cologne.
Artists include: Florisse Adjanohoun, Christie Akumabor, Osaze Amadasun, Kader Attia, Roger Atikpo, Belkis Ayón, Marcel Djondo, Omar Victor Diop, Nwakuso Edozien, Robert Gabris, Jimoh Ganiyu, Anani Gbeteglo, Ayrson Heráclito, indieguerillas, Patricia Kaersenhout, Eustache Kamouna, Grada Kilomba, Mohammed Laouli, Alao Lukman, Peter Magubane, Dhuwarrwarr Marika, Tshibumba Kanda Matulu and Medu Art Ensemble
Catalogue d'exposition des derniers travaux de Yinka Shonibare CBE qui se concentrent sur les héritages du pouvoir colonial, le refuge et la migration. "Suspended States" révèle les dernières installations, sculptures, courtepointes picturales et gravures sur bois de Yinka Shonibare CBE. Les oeuvres explorent les thèmes centraux des héritages du pouvoir colonial, des sites de refuge et des abris. Ils explorent les conflits et les migrations connexes, et les conversations sur les sculptures publiques et leur importance dans nos villes.
Fala est une jeune agence d'architecture fondée en 2013 à Porto par Filipe Magalhães, Ana Luisa Soares et Ahmed Belkhodja. Ils s'attachent à travailler la joie et un certain sens de l'humour en architecture, utilisant la couleur, développant l'autonomie et s'opposant aux opérations de lotissements à des fins spéculatives qui ont ruiné des régions entières du Portugal en 2008. Face à ces événements, ils travaillent à séparer les espaces principaux de vie des lieux auxiliaires, à zoner avec rigueur les plans d'habitation, à mettre en scène les vues et les lumières même pour des petits espaces donnant sur cour.
