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Prix
Charles Juliet
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Lambeaux est un récit autobiographique dans lequel Charles Juliet évoque sa mère qu'il n'a pas connue - morte de faim après huit ans d'enfermement abusif en hôpital psychiatrique - et le rôle que, malgré cette absence, ou à cause de cette absence, elle a joué dans sa vie d'homme et dans sa formation d'écrivain. Dans un second temps, il nous relate son parcours : la famille adoptive, l'enfance paysanne, l'école d'enfants de troupe, puis les premières tentatives d'écriture, lesquelles vont progressivement déboucher sur une toute autre aventure : celle de la quête de soi. Une descente aux enfers sera le prix à payer pour qu'un jour puisse éclore la joie grave et libératrice de la seconde naissance. Dans cette démarche obstinée il trouve la force de se mesurer à sa mémoire pour en arracher les moments les plus enfouis, les plus secrets, et les plus vifs. L'auteur devient son propre historien et nous livre un texte «pour finir encore».
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«Ne soyez pas attristés par ce que je viens de vous apprendre. Cet après-midi, j'ai eu le courage de m'enfuir, de créer une fracture. Et je connais en cet instant un tel bonheur que je sens que ma vieille souffrance s'est assoupie. Une fois ce déclic survenu, on parvient à s'aimer, à se faire confiance, à adhérer pleinement à la vie.» Voici cinq textes de Charles Juliet, rassemblés pour la première fois, qui tous évoquent la lente maturation qui a conduit à un choix d'existence et à l'écriture d'une oeuvre.
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Un petit paysan qui n'avait jamais quitté son village se retrouve un jour enfant de troupe. Dans ce récit, il relate ce que fut sa seconde année de jeune militaire, une année de découverte et de bouleversements, qui le verra mourir à son enfance et s'éveiller à des réalités et des énigmes dont il ignorait tout. La faim, le froid, les bagarres, son avide besoin d'affection, l'admiration qu'il voue à son chef de section, sa passion pour la boxe, les sévices que les anciens font subir aux bleus, la découverte de l'amour avec la femme de son chef, le sadisme de certains sous-officiers, la nostalgie qu'il a de son village, de sa chienne et de ses vaches, ses quinze jours de cachot, son renvoi de l'école puis sa réintégration, la hantise de mourir à dix-huit ans, là-bas, dans ces rizières où la guerre fait rage..., c'est le récit d'une entrée en adolescence, avec ses révoltes et sa détresse, ses déchirements et ses ferveurs.
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Charles Juliet en son parcours : Rencontre avec Rodolphe Barry
Rodolphe Barry, Charles Juliet
- Médiapop
- Sublime
- 4 Octobre 2024
- 9782491436889
Ces entretiens, au terme desquels Charles Juliet confiera « Je suis allé aussi loin que je le pouvais », révèlent le cheminement qui a mené l'écrivain de ses années sombres à la sérénité. Revenant sur sa vie vouée à l'écriture, Charles Juliet évoque les épreuves, mais aussi les rencontres décisives qui ont jalonné son parcours vers ce qu'il nomme « la quête de soi ».
Charles Juliet est né à Jujurieux, et a vécu à Lyon où il est décédé le 26 juillet 2024 à l'âge de 89 ans. Il est l'auteur de poèmes, de textes pour le théâtre, de récits autobiographiques (Lambeaux), d'écrits sur les artistes (Rencontres avec Bram Van Velde), et d'un Journal qui compte dix tomes à ce jour. Son oeuvre est considérée comme l'une des plus singulières de notre temps.
Rodolphe Barry est né en 1969. Il vit près de Troyes où il se consacre à l'écriture. Il est l'auteur, entre autres, de Devenir Carver, Honorer la fureur, Une lune tatouée sur la main gauche, ouvrages parus aux Éditions Finitude. -
Giacometti est l'exemple type de l'artiste aux prises avec les difficultés de la création.
À la fois dessinateur, peintre et sculpteur, il a édifié l'essentiel de son oeuvre au cours des vingt dernières années de son existence.
Bien que tragique, sa vision de l'homme n'a rien de désespérée. Ses portraits aux regards effarés et qui interrogent, ses sculptures filiformes expriment certes notre solitude, la douleur d'être, la précarité de notre condition, mais ils affirment aussi avec autorité que la vie est finalement plus forte que tout ce qui la ronge et cherche à l'abattre.
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C'est par la misère que j'ai approché la vie.
La toile est liée à un drame fondamental.
Je peins l'impossibilité de peindre.
La peinture, c'est un oeil, un oeil aveuglé, qui continue de voir, qui voit ce qui l'aveugle.
N'être rien. simplement rien. c'est une expérience qui fait peur. il faut tout lâcher.
Pour être vrai, il faut plonger, toucher le fond.
La toile ne vient pas de la tête, mais de la vie. je ne fais que chercher la vie. tout ça échappe à la pensée, à la volonté.
Bram van velde.
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C'est un petit paysan, un enfant sensible, attachant, dont on ignore le nom. Il découvre le monde des adultes, la vie, la peur, la tendresse. Il se livre à ses premières expériences, douces-amères, ou tragiques. Enfant de troupe, il connaît la solitude, l'ennui, la cruauté de certains chefs mais aussi l'amitié. Plus tard, avec le retour à la vie civile, c'est une autre solitude, une autre forme d'ennui et de désespoir. Mais il y aura cette ouverture, cette lumière possible que suggère une rencontre inattendue. Écrit tantôt sous forme de notes et de fragments plus ou moins développés, tantôt sous forme de récits, L'Inattendu est l'épilogue, longtemps après, de L'Année de l'éveil.
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Ces mots qui nourrissent et qui apaisent ; phrases et textes relevés au cours de mes lectures
Charles Juliet
- P.O.L.
- #formatpoche
- 2 Octobre 2008
- 9782846822817
J'ai dévoré bien des livres, vécu grâce à eux d'inoubliables instants. Ils me transportaient, m'exaltaient, me laissaient anéanti, ne cessaient de me triturer, m'aidaient à me connaître, à m'ouvrir mon chemin... Par la suite et au long des années, ils ont eu à combler ma faim, une faim qui réapparaissait aussitôt qu'assouvie. Toutefois, après les avoir ingérés, comment me séparer d'eux alors qu'ils avaient eu pour moi une telle importance? Il fallait absolument que j'en garde quelques bribes. D'où ma manie de prélever ces mots, ces phrases qui m'avaient dévasté, embrasé, poussé à aller plus avant. Manie d'autodidacte qui s'acharne à creuser toujours plus profond, qui tient à ne rien perdre de ce qu'il a acquis, qui veut pouvoir mâcher encore et encore ces mots où puiser force, lumière, énergie. Les phrases et textes rassemblés dans ce volume sont tirés des carnets où se trouve thésaurisée cette nourriture qu'aiment à consommer ceux qui se cherchent, cherchent un sens à la vie.
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Le jour baisse, dixième volume de mon journal, couvre quatre années, de 2009 à 2012. Dans les volumes précédents, je veillais à peu parler de moi. Ici, je m'exposedavantage, parle de ce que j'ai longtemps tu : mon épouse, sa famille, mes rapports avec celle-ci. Je relate ce que fut mon année préparatoire aux études de médecine, ma seconde session à cet examen. Une angoisse indicible. Échouer aurait été pour moi une tragédie. Arrêt des études et engagement dans l'armée.
Pendant cette année, à mon école d'enfants de troupe, j'ai eu des rapports difficiles avec un capitaine. Plus le rugby, plus une ardente faim de vivre, plus des tentations, plus un grand désordre dans la tête et dans le coeur.
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Ce petit livre est la reprise de l'entretien inclus dans le beau-livre Entre terre et ciel de Fabienne Verdier (à paraître en octobre). Elle y répond aux questions de Charles Juliet sur son art, sa philosophie de vie, son approche poétique de chaque instant, sa vision du geste créateur comme fulgurance issue des profondeurs de l'artiste. Des paroles essentielles qui vont droit au but sans théorisation superflue. Le but étant toujours le partage d'une intensité de vie.
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L'amour s'empare d'un homme, mais la femme qui le hante est trop jeune, ou elle regarde ailleurs, ou elle a conscience que la distance qui les sépare ne pourra être abolie. Renvoyé à lui-même, à une solitude accrue, cet homme vit une crise qui l'ébranle en profondeur. Il renonce, ou à l'inverse, il se bat, s'ingénie à vaincre les résistances. Un jour, l'imprévu survient, à moins que le temps ait modifié la situation et rendu possible ce qui ne l'était pas. Alors cet amour qui lancinait, érodait, déchirait, soudain il délivre, pacifie, ouvre largement les portes sur une vie qui s'éclaire, va multiplier ses dons...
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Journal Tome 1 : ténèbres en terre froide (1957-1964)
Charles Juliet
- P.O.L.
- Fiction
- 14 Mars 2000
- 9782867447518
Au tréfonds de l'être, une plaie suinte, que maintiennent à vif maintes de ces questions auxquelles il n'est jamais facile de fournir une réponse : vivre, le faut-il ? Et ce mot, vivre, comment le comprendre ? Quelles significations lui attribuer ? Et que doit-on faire de sa vie ? Quel sens lui donner - ou en recevoir ? Et s'il semble rigoureusement indispensable de se connaître, cet être que je suis, quel est-il ? Dois-je le subir dans tout ce qu'il est ? Ou bien puis-je le transformer ? Mais alors dans quel but, quelle intention ? Vais-je savoir brûler ce qui m'encombre, désenfouir mon noyau, ne garder en moi que ce qui procède de l'élémentaire, l'originel ? Et cet autrui dont je viens de vérifier à quel point il est mon semblable, vais-je savoir le rejoindre ? Et si je cède à ce désir de me connaître, comment dissoudre l'angoisse qu'il suscite ? Comment vaincre la peur de la vie ? La peur de la mort ?...
Quand ces questions le taraudent, l'être n'est pas à même de se les formuler. Elles ne sont tout d'abord qu'un malaise, un désarroi, une lancinante sensation d'exil, l'âpre nostalgie de ce que l'on ne saurait nommer, une infranchissable solitude. Et c'est à son insu que l'être se trouve progressivement engagé dans une aventure dont il ne soupçonne ni en quoi elle réside, ni où elle est susceptible de le mener.
Les notes rassemblées dans ce Journal sont les traces laissées par un homme embarqué dans une telle aventure, et qui, des années plus tard, devra s'avouer qu'en se scrutant la plume à la main, il n'a fait qu'obéir à un urgent besoin de se révéler à soi-même, se clarifier, s'unifier.
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Ce livre, s'il contient quelques poèmes inédits, est une anthologie, composée par Charles Juliet lui-même, de ses poèmes au long de plus de cinquante années de recherche, de tâtonnements, de découvertes. On y retrouve donc cette écriture si simple, si évidente mais aussi âpre, dure comme le silex et dense comme une terre nourricière, qui redonne leur sens immédiat aux mots, et leur valeur, et leur sonorité. Les titres des parties qui composent ce recueil révèlent bien l'itinéraire de l'auteur : 'Enfance', 'Effondrement', mais aussi 'Ouverture', 'Avancée', 'Lueurs'...
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Charles Juliet évoque deux livres qui l'ont profondément marqué pour des raisons différentes : L'Étranger d'A. Camus et Le Dieu nu de Robert Margerit. Trois lettres inédites de Robert Margerit complètent l'ensemble.
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« J'ai toujours pensé que, pour s'accomplir, une vie doit aller en s'élevant, en s'enrichissant, en devenant toujours plus vaste. » Une nouvelle emblématique de Charles Juliet, de sa démarche intime.
Grand Prix de l'Académie française pour l'ensemble de son oeuvre, en 2017, Charles Juliet s'est révélé un diariste singulier: les derniers tomes de son Journal montrent que sa longue recherche l'a conduit à un accord avec lui-même et à une large ouverture aux autres et au monde.
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« A vingt-trois ans, quand j'ai résolu d'abandonner mes études de médecine pour tenter de devenir un écrivain, je pensais que j'allais écrire des romans et des pièces de théâtre. Ainsi, lors des années qui ont suivi, j'ai écrit un roman, une confession, des nouvelles et deux pièces (tous textes non publiés et en partie détruits). Parallèlement j'avais griffonné quelques notes et quelques poèmes. En moi était apparu un besoin qui s'est fait de plus en plus insistant : le besoin de me clarifier, de m'unifier, de me connaître, de rendre consciente la plus grande part de ce que j'étais.
Pendant des années, abandonnant ce à quoi je me destinais, j'ai été entièrement requis par cette plongée intérieure et le travail sur moi-même qui lui était associé. Les notes qui voyaient le jour, et qui étaient à la fois instrument et fruit de cette exploration, ont fini par constituer un Journal. Celui-ci se présente donc comme la relation, parfois au jour le jour, de l'aventure intérieure dans laquelle je me trouvais engagé.
Je transcrivais dans ces pages ce que j'observais en moi et ce que me dictait cette voix intérieure qui murmure en chacun de nous. Ma difficulté de vivre, mes tourments, mon angoisse, mes interventions en vue d'affranchir l'oeil de ce qui conditionnait sa vision, cette lente pérégrination qui me menait vers je ne savais quoi, le sentiment que j'avais de vivre une agonie, cette nécessité de consentir à n'être rien, à passer par la mort du moi, puis la mutation qui est survenue, cette seconde naissance qui m'a fait autre (ou plus exactement, qui a permis à l'être initial de se dégager du fatras et de s'épanouir), qui a changé ma manière de penser et de voir - c'est tout cela qui s'est déposé dans les feuillets de ce Journal.
Je continue de rédiger des notes, mais avec de longues interruptions. Au fur et à mesure que j'évoluais, la fonction de ce Journal s'est modifiée. Il est moins alimenté par le dedans et accueille plus volontiers ce que lui offre le monde extérieur. Mais j'observe toujours la même règle : je ne tiens ce Journal que lorsque le besoin m'en vient, n'écris que ce qui m'est donné. C'est la vie qui commande et je me soumets à ce qu'elle veut. »
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Secrète, à peine audible, une voix parle en chacun de nous. Une voix qui nous accompagne tout au long de notre existence. Quand on lui prête attention, on entend son interminable soliloque. Mais parfois, elle se divise, et le soliloque devient dialogue. Tout se passe comme si deux voix s'opposaient, entraient en conflit, se livraient un véritable combat. L'Incessant met en présence un homme et une femme qui s'affrontent avec âpreté. Égocentrique, l'homme ne veut écouter que ses désirs, ses avidités. La femme lui fait valoir qu'il peut dépasser cette attitude et accéder à une vie plus ouverte, plus haute, plus riche. Chacun a son point de vue, ses arguments, s'acharne à l'emporter sur l'autre. Cet homme et cette femme sont en chacun de nous. À certains moments de crise, ils se déchirent, nous harcèlent. Mais la décision qui clôt le débat n'est jamais définitive. À tout instant elle peut être remise en cause. Alors l'affrontement recommence. Maintes et maintes fois. À moins qu'un jour l'homme cède et qu'une seconde naissance l'introduise à une nouvelle vie.
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Si les tableaux de Paul Cézanne ramènent Charles Juliet sur les lieux de sa propre adolescence, ils provoquent aussi en lui un questionnement sur la création, qu'elle soit celle du peintre ou celle de l'écrivain. Ce livre est un face-à-face troublant entr
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Ce nouveau « Journal » de Charles Juliet couvre les années 2004 à 2008.
Il est dans la veine des précédents, plein de sagesse, d'expériences, d'ouverture au monde et, surtout, aux autres. Des rencontres, beaucoup de rencontres qui sont autant d'occasions de récits de vie brefs, souvent bouleversants car la personnalité de Charles Juliet est telle que l'on se confie volontiers à lui qui est toujours à l'écoute, aux aguets de l'humain.
Beaucoup de lectures et de relectures (notamment Camus, ici), des voyages (surtout en France, à l'occasion de manifestations autour de l'auteur), de peinture, et de cinéma.
Et toujours cette écriture précise et sensible, prête à tout accueillir de l'expérience inté- rieure comme des choses de la vie.
Le précédent volume de son journal : Apaisement est paru en 2013.
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"Durant l'été 1992, une importante rétrospective Raoul Ubac s'est tenue au Musée Jenischn, de Vevey. Remarquablement organisée par M. Bernard Blatter, présentée avec beaucoup de soin, cette exposition m'a donné une vive émotion, rendu Ubac à nouveau présent, remis en mémoire cet entretien que j'avais enregistré avec lui une dizaine d'années plus tôt. Rédecouvrant cette oeuvre, il m'avait paru nécessaire que ces mots dormants reprennent vie, puissent être à nouveau offerts à ceux qui pourraient avoir envie de les revevoir. Je les ai donc retranscrits et les voici publiés. [...] J'ai rencontré Ubac une dizaine de fois, et ces rencontres se sont échelonnées de 1966 à 1982. [...] De quoi parlions-nous ? Essentiellement de son travail, de poésie, des problèmes posés par la création, et lorsque nous passions un moment dans son atelier, des oeuvres qui nous entouraient".
(Charles Juliet)
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En même temps qu'il fait paraître le septième tome de son "Journal" aux éditions P.O.L, Charles Juliet publie chez Voix d'encre un ouvrage qui rassemble ses pensées sur l'écriture et la parole, sur son amour des livres et sa sensibilité aux voix... Ses textes sont exaltés par 25 compositions circulaires à l'encre de Chine du peintre Serge Saunière.
Charles Juliet : o Écrire pour obéir au besoin que j'en ai. o Écrire pour conquérir les mots, conquérir le langage. Pour apprendre à écrire. Apprendre à parler. o Écrire pour ne plus avoir peur. Pour panser mes blessures. Pour surmonter mes inhibitions, me dégager de mes entraves. Pour déraciner la haine de soi. Pour apprendre à m'estimer. À m'aimer. o Écrire pour déterrer ma voix. o Écrire pour ne pas vivre dans l'ignorance. o Écrire pour me mettre en ordre, me clarifier, m'unifier... o Tout au long de cette aventure, l'écriture m'a été un outil indispensable. Elle m'était discipline, exigence, obligation de progresser. Grâce à elle, grâce au travail de forage et de structuration qu'elle m'a permis d'effectuer, j'ai pu "remonter des enfers". Il ne m'échappe pas que je suis un privilégié.
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Des réflexions sur l'écriture et l'art qui en font toute la richesse, sur le temps qui passe, et sur l'âge qui vient... avec cette foi et cet apaisement que C. Juliet a retrouvés maintenant dans la vie.