Les religions ne sont pas seules à s'occuper d'elles-mêmes et cela vaut aussi pour le christianisme ! Certes, l'expérience intime et la connaissance « par l'intérieur » ont ici toute leur pertinence, et gardent même toujours leur valeur décisive. mais à la condition d'accéder à une vraie conscience d'elles-mêmes, et d'être capables de se soutenir elles-mêmes au sein des interrogations et des débats de la culture ambiante. A la condition, donc, d'être de quelque manière portées au discours. Discours théologique assurément, mais aussi, et de plus en plus, discours de ces « sciences humaines » ou « sciences sociales » spécialisées qu'en référence au champ d'exploration précis qu'elles s'assignent on appelle justement « sciences des religions ».
Ce sont de telles approches scientifiques des religions et des faits religieux qui sont publiées dans ce livre. Leurs auteurs appartiennent à la Sorbonne, à l'Ecole Pratique des Hautes Etudes, à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, au Centre National de la Recherche Scientifique, à l'Université de Louvain. et, bien sûr, aussi à l'Institut Catholique de Paris lui-même, puisque c'est lui qui a organisé leur rencontre. Ethnologues, historiens, psychologues, sociologues, phénoménologues et théologiens ont été conviés à réfléchir sur la spécificité effective et sur l'articulation praticable de leurs disciplines respectives. On les voit ici s'exposer les uns aux autres, s'interpeller, dialoguer. Joseph DORÉ Directeur de la collection
Kafka a écrit des centaines de lettres à Milena Jesenská, jeune femme prodige de 24 ans qu'il appelait son « feu vivant », morte en déportation à 44 ans. Fille unique d'un éminent chirurgien, qui la fait interner après une liaison et un avortement, Milena se marie pour se libérer de l'emprise de son père, puis se met à écrire et traduire pour s'émanciper de son mari. Curieuse, gourmande, facétieuse, vivante - par-dessus tout vivante -, passionnément amoureuse, elle est dépendante des mots de Kafka comme des drogues expérimentées à l'adolescence. Réécriture (apocryphe) des courriers de Milena, qui n'ont jamais été retrouvés, ce texte exprime le désir avec tant de puissance qu'il redonne vie au grand amour de Kafka. Marquée par cette rage de lettres insensée, la passion de Franz et Milena peut-elle vaincre, au-delà de leurs fragilités et privations communes, « les frontières, les guerres, le temps, les visas, la maladie, la mort » ?
Marie-Philippe Joncheray s'est glissée dans les interstices de la correspondance, intense et nourrie, entre Franz et Milena, de 1920, date à laquelle Milena commence à traduire des nouvelles de Kafka, à 1922, lorsqu'elle comprend que cette relation ne sera jamais que de papier.
Jean-Pierre Joncheray est un vieil habitué des éditions GAP.
Nous lui devons la longue série des épaves :
- 50 épaves en Corse, édité en 2002, puis, en suite régulière :
- 80 épaves à Marseille et dans sa région, - 100 épaves en Côte d'Azur, de La Ciotat à Saint-Tropez, - 100 épaves en Côte d'Azur, Monaco, Riviera du Ponant, à laquelle il a déjà rajouté L'aventure du sous-marin Alose, ce submersible qu'il a découvert en 1975, et maintenant classé Monument Historique.
En même temps, couronnement de sa longue carrière d'archéologue sousmarin, Jean-Pierre « inventait » en quelque sorte ce qu'il convient de nommer l'archéologie de la vapeur, une application innovante des méthodes de l'archéologie sous-marine aux épaves contemporaines, des navires à vapeur aux avions. Car, avant lui et ses premiers « naufrages en Provence », qui datent du début des années 1980, n'étaient nobles, et considérées, que les études de gisements antiques, étrusques, grecs ou romains.
Dans la foulée, notre auteur préféré s'est attaqué à un sujet qui, il faut l'admettre, est d'actualité : la guerre de 1914-1918, autrement dite « Grande Guerre ». À vrai dire, Jean-Pierre n'avait pas attendu cette commémoration pour amasser, année après année, depuis plus de quarante ans, une importante documentation sur les aspects maritimes et méditerranéens du conflit. Il avait visité toutes les épaves se rattachant à cette période, s'entourant des meilleurs photographes sousmarins,et consulté les plus éminents spécialistes du sujet.
L'appel aux plongeurs « tek », ces nouveaux explorateurs des grandes profondeurs, fut souvent nécessaire. Avec François Brun et Claude Roquelaure, les coauteurs, l'exhaustivité s'est réalisée jusqu'aux frontières de notre façade méditerranéenne.
Le résultat est là : dix-sept bâtiments perdus, plus de dix épaves visitées au sein des eaux, leur histoire avant le funeste jour de leur naufrage, les circonstances de leur perte, et la description de leurs vestiges, quand ceux-ci étaient accessibles.
La qualité de cet ouvrage semble établie si l'on en savoure la préface, sous la signature prestigieuse du Directeur du Département des Recherches Archéologiques Subaquatiques et Sous-Marines, Michel L'Hour.
Il y a plus de 100 sites d'épaves dans ce livre, des belles et des belles, des grandes et des toutes petites, des prestigieuses et des humbles, des dangereuses, des mystérieuses.
Fallait-il que nous en ayons raclé des tôles, souvent hostiles, souvent profondes, voire déraisonnables, pour un tel échantillonnage et cela, avec des fortunes diverses, depuis plus de quarante ans, entre détendeur cousteau-gagnan modèle 1945 et recycleur de dernière génération ! remercions les plongeurs amis qui nous ont fourni amers secrets, photographies, anecdotes susurrées en fond de cale. bien sûr, quelques vieilles coques nous ont certainement échappé et, par ailleurs, beaucoup d'épaves demeurent sans nom, sans carrière, sans histoire.
Leur monographie aura au moins le mérite d'exister, elle sera le point de départ de vos futures investigations : a vous donc de continuer, ou tout simplement d'utiliser l'ouvrage en prenant votre temps, et surtout, d'éprouver du plaisir à découvrir les 100 épaves en côte d'azur, de la ciotat à saint-tropez. autant de plaisir que celui que nous ont procuré les centaines de plongées magnifiques, au sein d'un environnement dense, varié, clair, sinon le plus souvent limpide.
Et ce n'est pas tout. nous préparons une suite aussi riche, aussi fournie, qui concernera les gisements de saint-raphaël à l'italie !.
Quatre-vingt-dix épaves en Corse... pourquoi pas plus ?
Et voici la réédition, nettement enrichie et améliorée, de l'ouvrage « 50 épaves en Corse », paru en 2002, devenu vite introuvable.
Véritable musée sous-marin, l'île recèle encore des sites inconnus, témoins de son histoire récente et de l'histoire récente universelle. Devant un tel foisonnement de navires et d'avions disparus, Anne et Jean-Pierre Joncheray se sont donné une limite : un peu plus de quatre-vingt-dix gisements. Cela correspond à plus de trente-cinq années de plongées, à des centaines d'immersions, à un nombre incalculable de voyages en ferry, en cargo, en avion, avec, souvent, des itinéraires chaotiques... Cela correspond aussi à des épaves émergentes (Niagara, Sagemar), tout aussi bien que des monstres de profondeur (Da Noli, cargo de Figari). Une aventure sous-marine i ninterrompue, vécue avec leurs copains corses, que ce soit pour le pire comme pour le meilleur. Et, en Corse, il y a plus de meilleur que de pire!
Comment présenter les plongées? Le déroulement géographique a été privilégié, en partant du haut du cap Corse, dans le sens des aiguilles d'une montre. Les épaves se succèdent, toutes différentes, plus ou moins intactes, plus ou moins profondes... Pour chacune d'elles, les auteurs se sont efforcés de décrire, successivement, la nature du navire ou de l'avion, puis son histoire (on dit souvent «la carrière»), sa localisation, avec, autant que possible, les fameuses «enseignures» ou les imparables «points GPS», la profondeur, et, évidemment, la plongée, ses points forts, sa difficulté.
Un bref résumé précède chaque monographie, et, par zones géographiques, un descriptif complet des ports, des mouillages, des zones protégées est fourni. Avant toute chose, les généralités concernant accès ou météo sont livrées au lecteur.
Cet ouvrage s'avérera indispensable à beaucoup de passionnés... Les Corses y retrouveront des bribes de leur passé. Les Continentaux y découvriront pratiquement tous les sites de plongée sur épave de l'île. Les marins, les aviateurs se passionneront pour cette histoire sous-marine. Les historiens, les «ship lovers» seront surpris de la densité de l'ouvrage...Il s'agit là d'un vrai dictionnaire, à la fois historique et subaquatique, une somme colossale de renseignements récoltés avec soin !
Paru en 1893 le roman historique la Belle Olonnaise vous immerge dans Les Sables d'Olonne sous le règne du roi Louis XIII. Sa réédition, en commémoration du 400ème anniversaire du sac des Sables d'Olonne en février 1622 par les troupes huguenotes commandées par le duc de Rohan-Soubise, enrichie de notes et commentaires rédigés par le sablais Jean-Michel Joncheray, vous conduira à la rencontre de personnalités qui ont marqué l'histoire de la ville. En pleine guerre de religion, écrit à la façon des romans de cape et d'épée, tous les ingrédients sont réunis pour captiver le lecteur : les méchants sont très méchants, les héros transcendés par leur sens de l'honneur et du devoir sont magnifiques et chevaleresques, quant aux héroïnes, elles ont un charme envoutant. Si le coeur de l'histoire se situe aux Sables d'Olonne, vous serez aussi emmenés dans le Bas-Poitou du 17ème siècle et jusqu'au siège de La Rochelle. Vous aimez Les Sables, vous aimerez La Belle Olonnaise.
Diane est une jeune femme contemporaine : idéaliste et cynique. Face à la dureté d'une société régie par la violence économique, elle sécrète un conte et comme une araignée qui tisse sa toile, réussit à prendre possession de son monde en le soumettant à ses désirs et à ses fantasmes. C'est un personnage en résistance, dont on suit l'itinéraire à travers une intrigue prenante. L'écriture de ce roman initiatique est « sensualiste » et volontairement précieuse, parfois, pour évoquer la femme, son pouvoir, la vie de la mémoire, la présence des morts, la puissance créatrice de la poésie...
Un ouvrage unique sur ce sujet, avec plus de 400 photos et illustrations, le plus souvent inédites, signées des meilleurs photographes mondiaux, un vrai dictionnaire historique et subaquatique des épaves entre Saint-Raphaël et Gênes !
Il y a plus de 100 sites d'épaves dans ce livre, des belles et des moins belles, des grandes et des toutes petites, des prestigieuses et des humbles, des dangereuses, des mystérieuses... Fallait-il que nous en ayons raclé des tôles, souvent hostiles, souvent profondes, voire déraisonnables, pour offrir un tel échantillonnage et cela, avec des fortunes diverses, depuis plus de quarante ans, entre détendeur Cousteau-Gagnan modèle 1945 et recycleur de dernière génération ! Remercions les plongeurs amis qui nous ont fourni amers secrets, photographies, anecdotes susurrées en fond de cale !
Bien sûr, quelques vieilles coques nous ont certainement échappé et, par ailleurs, beaucoup d'épaves demeurent sans nom, sans carrière, sans histoire... Leur monographie aura au moins le mérite d'exister, elle sera le point de départ de vos futures investigations : à vous donc de continuer, ou tout simplement d'utiliser l'ouvrage en prenant votre temps, et surtout, d'éprouver du plaisir à découvrir les 100 EPAVES SUR LA CÔTE D'AZUR - Monaco, Riviera du Ponant - de Saint-Raphaël et Gênes. Autant de plaisir que celui que nous ont procuré les centaines de plongées magnifiques, au sein d'un environnement dense, varié, clair, le plus souvent limpide.
Ce volume édité en l'honneur de la professeure Marianne Dony traite des grandes matières du droit européen qu'elle a abordées tout au long de sa carrière. Tel un kaléidoscope réfléchissant un nombre infini d'images, la diversité des sujets étudiés reflète non seulement la polyvalence de l'expertise de Marianne Dony, mais aussi la place primordiale du droit européen dans la vie des justiciables. L'ouvrage est divisé en trois grandes parties.
La première partie, « droit constitutionnel », aborde des questions transversales comme celles des valeurs et des principes de l'ordre juridique que constitue l'Union européenne, le fonctionnement de ses institutions, et ses rapports avec les ordres juridiques des États membres.
La deuxième partie, consacrée au « droit économique », traite principalement de l'Union en tant que marché intérieur où la concurrence est libre et non faussée. Il y est principalement question du droit de la concurrence et du droit des aides d'État, mais également du droit financier.
Enfin, la troisième partie, « relations extérieures », questionne le rôle de l'Union européenne en tant qu'acteur sur le plan international. Y sont à la fois examinées la nature des compétences externes de l'Union, ainsi que ses actions extérieures dans divers domaines, tels que la traite des êtres humains, les relations entre l'Union et les pays du Sahel, ou encore le Brexit.
De la porte Océane au Havre, aux rives de Mui Né au Vietnam, en passant par le pont de Mitrovica au Kosovo, Julien, jeune actif à l'âme chevaleresque, se laisse porter par la vie et éprouve son libre arbitre face aux nombreux choix qui se dressent sur son chemin.
Son instinct et sa confiance aveugle dans la providence le conduisent à s'engager dans la Marine nationale, brièvement, à aimer, follement, à vouloir sortir une jeune femme de sa condition d'esclave sexuelle, à croire en l'impossible, jusqu'au jour où le passé frappe à sa porte.
Un premier roman sur fond de destinée, de dualité entre amour raison et amour passion, d'aventure, de camaraderie, saupoudré de traits d'humour et de préceptes de spiritualité en filigrane.
Deux officiers français sont envoyés en mission spéciale en Irak, dans une contrée tenue par les djihadistes. L'un d'entre eux, le capitaine Gabriel Lasri est veuf?: il a vécu une douloureuse épreuve et porte un lourd secret familial. Largués avec leurs hommes en plein territoire ennemi, ils ignorent encore le piège qui leur est tendu...
En toile de fond de ce roman, la terrible guerre entre les occidentaux et les islamistes qui a défiguré cette terre d'Irak, marquée par une histoire aussi riche que tragique. Ce roman évoque le courage de ces hommes engagés, prêts à sacrifier leur vie pour leur pays, celui aussi des chrétiens d'Orient amoureux de leur terre et de ses traditions. Il décrit aussi la richesse méconnue de cet Orient déchiré. Il dit aussi la complexité du coeur humain qui oscille entre l'héroïsme et la lâcheté, la dureté et la tendresse, la passion et la raison, la haine et le pardon.
Un roman qui témoigne du courage, du don de soi, de la fraternité et du pardon.
Les deux archéologues Anne et Jean-Pierre Joncheray ont consacré leur vie aux épaves, à leur recherche et leur fouille, et aux récits historiques que ces désastres contaient en filigrane. Fruit de cette quête, ce livre détaille 25 épaves emblématiques s'échelonnant des temps préhistoriques à la Seconde Guerre mondiale, de la grotte Cosquer au mythique Lightning de Saint Exupéry.
Plusieurs histoires s'entrecroisent ici, en premier lieu l'Histoire, la grande, et elle est tonitruante : du commerce grec puis romain en Méditerranée jusqu'à la guerre sous-marine à outrance de 1917, en passant par l'occupation de la Provence par les Sarrasins au XXe siècle ou la prise de Toulon par la flotte anglaise en 1793 ! L'enquête menée par les auteurs, plongée après plongée, de bibliothèques en archives, révèle aussi de précieuses tranches de vie, l'histoire silencieuse des hommes embarqués sur ces engins au destin funeste.
Enfin, cet ouvrage est également l'histoire d'une passion folle : celle d'un couple dévoré par ces secrets d'épave, dépositaire d'un savoir phénoménal sur notre passé englouti, au quotidien émaillé de découvertes époustouflantes - du premier navire étrusque, à la coque cousue, à ce prototype des sous-marins modernes, planté verticalement par 50 m de fond - mais aussi d'explorations déçues dans des eaux troubles et glacées, à des profondeurs inavouables...
Le meilleur de l'Ile de Ré en 60 photographies d'exception
Vendée, un littoral balayé par les vents de l'Atlantique, des plages à l'infini, deux îles, Yeu et Noirmoutier, comme deux perles échappées du collier des îles bretonnes.
Vendée, des collines qui ondoient et des chemins creux musardant dans le Bocage, les ailes des moulins et les marais, breton ou poitevin, quadrillés d'un labyrinthe de canaux et d'étiers. Des villes et des villages empreints d'histoire de France, des abbayes et des églises dessinant les chemins du patrimoine à travers les siècles. Des saveurs et des couleurs à savourer entre terre et mer, des hommes et une culture fortement ancrés dans la tradition et résolument ouverts sur aujourd'hui et sur demain.
Vendée, un territoire qui se découvre au fil des lieux et de l'histoire, au fil des mots et des images.
Une vision incroyable : une épave de sous-marin plantée droit dans le sable par 53 mètres de profondeur ! Sous un amoncellement de cordes et de filets, une coque fuselée, une étrave qui pointe vers la surface, et cela est recouvert d'un peuplement marin extraordinaire...
Des sous-marins, il y en a pas mal, engloutis au large des côtes méditerranéennes, leur liste figure dans l'ouvrage, mais celui-ci n'était pas n'importe lequel ! Une vraie pièce de musée, un ancêtre âgé maintenant de plus de cent ans, un jalon impressionnant de la conquête des abysses, et qui vient d'être récemment classé monument historique.
Et voici donc le début d'une aventure passionnante que vous raconte Jean-Pierre Joncheray, tour à tour « inventeur » de l'épave par une froide matinée d'octobre, puis chercheur, rat de bibliothèque, historien maritime et, par la force des choses et l'enchaînement des circonstances, initiateur du sauvetage de la vieille coque, ce qui sera planifié par son copain Henri Delauze.
Une chance fabuleuse a voulu que la fille du Commandant Le Prieur, et le pilote Duval lui-même, tous deux responsables de l'engloutissement de l'Alose, lui confient des photographies d'archives d'une rare valeur : ce livre relate, documents inédits à lappui, les derniers instants du vieux submersible...
Des mages repèrent une nouvelle étoile dans le ciel. Ils y discernent le signe d'un événement grandiose qui va se produire sur la terre. Un prince, pas comme les autres, va naître ! Un roi qui apportera la paix et le bonheur. Curieux, ils ont hâte de voir cet enfant. Ils se mettent en route et suivent l'étoile qui les mène à Bethléem. Là, ils vont découvrir une jeune femme d'Israël qui, sous les yeux attendris de son mari, tient dans ses bras un nouveau-né. L'enfant s'appelle Jésus. Cette scène, que les enfants du monde reproduisent dans leur maison, n'est ni une légende, ni un conte. C'est la vraie histoire de Noël.
Avec plus d'un million d'habitants, la Loire-Atlantique est le département le plus peuplé de la façade atlantique. Associé à l'histoire de la Bretagne, inséparable de l'estuaire de la Loire, portant l'empreinte de Jules Verne et des surréalistes, berceau des plus gros paquebots du monde., ce territoire possède une identité environnementale, culturelle et économique d'une force étonnante. Avec ses cités historiques, ses 133 kilomètres de plages, ses 6 500 hectares de parcs naturels ou encore ses 13 ports de plaisance, le département ne cesse de fasciner pour la richesse de son patrimoine et les saveurs de son cadre de vie. Mais il sait également se rendre attirant grâce à la vigueur de son économie et à un tissu d'entreprises qui a trouvé sur ce beau balcon européen d'excellentes perspectives de développement. Ainsi la métropole Nantes-Saint-Nazaire, qui connaît l'un des plus forts taux d'accroissement démographique de France, a-t-elle réussi une synthèse dynamique en construisant sa prééminence à la fois dans le domaine des technologies de pointe et le développement des services, à la fois dans la préservation du maillage serré de ses entreprises agricoles et artisanales.
Port maritime, cité industrielle, carrefour culturel, grands espaces naturels et haut lieu pour le tourisme balnéaire. La Loire-Atlantique a tous les visages et tous les rendez-vous lui sont permis. Elle offre aujourd'hui, avec sa grande métropole, en France et plus largement en Europe, un lieu à vivre pleinement.