«Parce que je suis une femme, j'ai peur de sortir seule la nuit, de porter des vêtements qui me plaisent, d'exprimer mon opinion ou mes émotions. Ces peurs sont à l'origine d'une immense colère que j'essaie de contenir tant bien que mal. Cette colère, ça fait désormais trente-quatre ans que je vis avec et qu'elle me ronge les tripes, au point de se retourner régulièrement contre moi. Lassée d'être seule à en subir les conséquences, j'ai donc cherché à comprendre quels en étaient les origines et les éléments déclencheurs, afin de l'assainir et de la diriger non plus contre moi-même, mais contre ceux qui la méritent.»Taous Merakchi prend ici la parole pour toutes les femmes qui n'en peuvent plus d'avoir peur, de ne pas être prises au sérieux et de toujours devoir se justifier.
De nos jours, la fascination pour le morbide, ce n'est plus vraiment un secret inavouable... Découvrez 150 anecdotes macabres, bizarres ou incroyables (du genre qu'on ne veut VRAIMENT pas croire) !
Entre les papillons buveurs de sang, le nombre de bactéries que l'on s'échange lors d'un baiser, la technique qu'utilisaient les Romains pour se blanchir les dents, l'histoire de Robert la poupée hantée... vous n'êtes pas au bout de vos surprises - ni à l'abri de lâcher quelques "eurk" pendant votre lecture.
À votre tour de les raconter en soirée pour déclencher les frissons de votre assemblée, et ce, sans le moindre remord !
C'est le coup de fil que l'on redoute. «Papa est à l'hôpital, il ne va pas bien du tout». L'appel qui pétrifie car il nous rapproche d'une de nos plus grandes craintes : celle de la mort. La mort est le point final qui ne saute personne et qui nous met tous à l'amende, peu importe d'où l'on vient ou ce que l'on a fait de notre vie. On la voit toujours comme la plus grande tragédie humaine : elle est inévitable, elle n'est pas juste, elle nous fait peur... et c'est bien normal.
Cette fatalité et cette errance infinie vous angoissent peut-être, mais pour moi, Taous Merakchi, alias Jack Parker, il est incroyablement rassurant de savoir qu'un jour tout prendra fin ; cela donne du sens à ma vie et du poids à mes actions. Plutôt que de faire l'autruche, j'ai choisi de regarder la mort en face et de briser le tabou qui l'entoure. Alors bien sûr, je souffre de son existence et de son impact sur mon entourage. Mais j'ai trouvé un vrai réconfort en l'étudiant, en la théorisant ; et c'est en décortiquant le deuil, les rites funéraires à travers le monde, les différentes croyances, les fantasmes autour de la mort que je voudrais vous aider à l'apprivoiser à votre tour... et à ne plus en avoir peur !
Remontons le Styx ensemble.