John Seymour était chef de file du mouvement d'autosuffisance dans les années 1970 en Grande-Bretagne. Très engagé contre la société de consommation, l'industrialisation, les OGM. Il se faisait le porte-parole des valeurs du jardinage, d'autosuffisance, d'écologie.
Ce livre est une référence (700 000 exemplaires vendus dans le monde) et il est enfin disponible dans son intégralité en français.
Ce manuel visionnaire offre aux jardiniers et à toutes les personnes qui visent l'autosuffisance des principes clairs pour multiplier les rendements, récolter des fruits et légumes de qualité, élever des animaux, conserver et stocker des animaux, travailler la pierre et le bois, limiter sa consommation en énergie...
A propos de cet ouvrage, dans une interview au journal Libération, Perrine Hervé-Gruyer, fondatrice de la ferme du Bec-Hellouin dit :
« On était tombés sur des livres de John Seymour, tenant d'un mouvement dans les années 1970 sur l'autosuffisance, qui ont été notre bible. On y apprend aussi bien à fabriquer sa bière que ses détergents. C'est bien plus tard qu'on a découvert le principe de permaculture. »
Nous sommes ce que nous mangeons, mais savons nous vraiment ce que nous mangeons? L'agriculture urbaine est un mouvement planétaire qui encourage la pratique d'un mode de culture, de transformation et de distribution au cÅ?ur de la cité. Dans un monde de plus en plus urbanisé, explorer l'agriculture urbaine en vue de promouvoir un mode de vie plus vert apparaît comme un élément essentiel à la qualité de la vie citadine. De l'apiculture sur les toitures à la culture de champignons en sous-sol, Fermiers urbains se penche sur le champ fascinant et divers de l'agriculture urbaine de Paris à New-York et Nairobi, en vous offrant l'opportunité de tirer parti des meilleures pratiques pour passer à l'action, sur votre balcon ou dans un jardin communautaire, et au-delà. Prêts à cultiver mieux pour manger mieux et à rendre ce monde meilleur!
« Rien ne sera plus comme avant », nous dit notre président : et l'on voit en effet déjà se profiler leurs réponses à la crise actuelle, couplant une fusion encore plus complète entre l'Etat et le capital financier avec une accélération du cours autoritaire et technomaniaque du capitalisme de surveillance. Avec Attac, de nombreux contributeurs ont souhaité apporter leur expertise à cet ouvrage collectif : Dominique Méda, Manuel Domergue, Clément Sénéchal, Amélie Canonne, Virginie Maris, Jean-Louis Laville, Laurence de Cock, etc.
En vous racontant l'histoire de ce concept révolutionnaire et en vous guidant au travers des différentes étapes nécessaires à la création d'une AMAP (Association pour le maintien d'une agriculture paysanne), cet ouvrage dévoile les richesses insoupçonnées de cet étonnant partenariat entre un paysan et des consommateurs.
21 actions pour retrouver la maîtrise de ses ressources alimentaires - Agir pour retrouver l'autonomie alimentaire en tous lieux, notamment urbains, à partir d'une feuille de route comportant 21 actions, à mener à l'échelle individuelle comme à l'échelle collective.
- Une approche à la fois globale de l'autonomie alimentaire et très concrète pour donner l'envie aux lecteurs de se réapproprier leur alimentation et de devenir acteurs de leur territoire.
- Des réponses pratiques à la question « Par quoi commencer » pour les 90% de la population qui habite dans les villes.
- Une démarche originale et structurée, issue de l'expérience personnelle des auteurs en milieu urbain, qui ont notamment initié le mouvement citoyen des Incroyables Comestibles en France et qui ont développé le concept de permathérapie (modifier les comportements humains avant de penser pouvoir changer le monde).
- Une portée universelle puisque ce livre s'adresse aux familles, aux éducateurs, enseignants, responsables associatifs impliqués dans les démarches de transition, ainsi qu'aux collectivités locales et territoriales engagées dans les questions d'aménagement du territoire et du bien vivre alimentaire.
La science a lancé l'alerte. L'alimentation « globale », d'origine industrielle, est responsable d'une part considérable des gaz à effet de serre. Chacun est sommé de se convertir aux vertus du local, aux circuits les plus courts possibles, issus de réseaux identifiés, porteurs de culture. Sans compter le gain qualitatif : les produits frais sont plus riches en nutriments que ceux qui ont traversé les océans.
Pourtant, manger local est-il encore possible aujourd'hui ? Peut-on vraiment se priver des aliments ou des plats qui nous connectent symboliquement au monde ? Car, à l'échelle locale, le monde est riche de diversité : sushi, pizza, nems, couscous, bretzel, cappuccino, paella, kimchi, bortch, tandoori, ceviche, tortilla et mille autres mots étrangers nous sont devenus familiers.
C'est ce noeud local/global que l'on défait ici pour comprendre ce que manger veut dire.