Nicolas Lemery a été, au XVIIe siècle, l'un des premiers à séparer l'alchimie de la chimie. L'auteur, chimiste, porte un regard nouveau sur l'un des fondateurs de la chimie moderne, précurseur de Lavoisier.

Dans cet ouvrage initialement publié en 1964, J.-P. Nicola entend redonner à l'astrologie sa place au carrefour des sciences humaines et fondamentales. Il montre les liens qui existent entre le Système solaire et l'activité nerveuse et chronobiologique. Il présente aussi plusieurs théories qui ont marqué les recherches postérieures.
En 1964 paraissait La Condition solaire, redonnant à l'astrologie sa place au carrefour des sciences humaines et des sciences fondamentales. Jean-Pierre Nicola revenait en effet à ses fondements historiques et astronomiques, tout en démontrant les liens unissant système solaire, activité nerveuse et chronobiologie. Ce livre fondateur est à l'origine d'une nouvelle approche : l'astrologie moderne. Il a ainsi ouvert différentes voies d'études et de savoir-faire auxquels des chercheurs et praticiens en astrologie ont apporté leurs contributions et permis de nombreuses publications.
La Condition solaire présente des outils théoriques et concrets qui ont marqué toute la pertinence de cette approche : théories des âges, zodiaque photopériodique, système RET, rythmes planétaires, etc. Autant de clés ouvrant sur une pratique plus globale de la consultation, et une meilleure compréhension des relations et de la condition humaine. Le ciel de naissance est un élément constitutif de la personnalité, au même titre que l'environnement familial, sociétal, héréditaire, etc., avec lesquels il se combine. Il offre par ailleurs des développements philosophiques, mathématiques et humanistes qui dépassent largement le cadre astrologique et auxquels les autres branches du savoir gagneraient à s'intéresser.
Ouvrage d'avant-garde et toujours actuel, il devenait essentiel de republier ce précieux jalon. Lire la suite Fermer

Une prévention véritable et authentique implique la réappropriation du corps et des expériences corporelles, la possibilité d'agir par soi-même aux signaux qu'envoie l'organisme. Avec des exercices de mise en pratique.

Théophraste Bombast von Hohenheim, dit Paracelse, naît alors que s'achève le Moyen Âge. L'auteur trace ici le portrait de cet homme à la puissante personnalité ; il guide le lecteur dans les pas de cet éternel rebelle, à la vie errante remplie d'aventures fertiles en péripéties.
Si Paracelse subira encore l'influence du Moyen Âge sur ses conceptions en astrologie, sa recherche d'une démarche logique dans l'observation, sa critique de l'alchimie traditionnelle qui ouvre la voie vers la chimie moderne, son rejet de la scolastique, la défense acharnée de son libre arbitre, ses vues hardies sur la connaissance de l'homme et de l'univers, en feront un homme de la Renaissance.
Ses idées, parfois visionnaires, bouleversent l'ordre établi, défendues avec fougue et rudesse de langage par ce médecin des pauvres - tenu de son temps pour un imposteur - elles seront la source de toutes ses misères avant qu'il atteigne la notoriété que tout le monde, désormais, s'accorde à reconnaître.
En s'appuyant sur de nombreuses sources, l'auteur analyse la pensée de Paracelse afin de la mettre à la portée d'un large public..

Robert Delavault a exercé son professorat et dirigé les recherches à l'Université d'Orléans. Coauteur d'un Dictionnaire de biologie, il a publié un ouvrage : Les précurseurs de la biologie, une biographie d'Antoni van Leeuwenhoek, célèbre microscopiste néerlandais, et celle du médecin anatomiste André Vésale. I1 est membre de la Société française d'Histoire de la médecine. Lire la suite Fermer

Etat des lieux des politiques énergétiques possibles pour le XXIe siècle et la fin de l'ère du pétrole. Outre les contraintes induites sur le comportement quotidien des consommateurs, l'auteur propose des combinaisons d'énergies pro-renouvelables, plus ciblées et moins connues que les solutions de juste milieu généralement envisagées, et tenant compte des économies d'échelle.

Ces suggestions de soins du corps par les minéraux permettent d'accéder à un bien-être que l'auteure, naturopathe iridologue, présente, en décrivant les cristaux et leurs caractéristiques.

Une tour de 1.000 m de haut va être construite dans le désert australien, pour produire de l'électricité solaire. L'auteur essaie, en physicien et en économiste, de démêler les enjeux de ce projet et montre qu'une telle audace est parfaitement justifiée et finalement très raisonnable.

Trois oeuvres des principaux spagyristes, Oswald Crollius, Joseph Duchesne et Jean d'Aubry, sont ici reproduites et commentées. Ces écrits décrivent la préparation de remèdes basés sur les distillations successives et la combinaison des quintessences.

Le sujet choisi ici est précisément l'énigme du point X, celui où se croisent l'esprit et la matière : ce carrefour est l'un des problèmes-clés des cognitivistes, ces chercheurs du cerveau et de la connaissance, qui s'efforcent en quelque sorte d'expliquer leur propre instrument de travail.

Complément à l'ouvrage de base de l'auteur
'L'homme sous le Ciel"
( médecine chinoise)

L'erreur, concept-clé de notre monde où l'incertitude et l'incomplétude devenues chose courante ou encore bien nécessaire, est liée à la vie humaine et sociétale de notre siècle : nous n'avons plus le temps de «chercher» l'erreur, de «vérifier» une information. L'erreur traquée, pourchassée, le «sans-faute» de nos dictées ne semblent plus préoccuper nos têtes bien pensantes. Nous devons apprendre à travailler avec l'erreur. Nous recherchons les lapsus pour en rire, ou trouver la culpabilité.
Ce thème est pluridisciplinaire : de la médecine au droit, en passant par la science et autre discipline comme la génétique, la sociologie, l'économie, etc. L'erreur est liée à la vie, comportant d'innombrables processus de détection, de refoulement ou d'utilisation. La ruse des animaux utilisant des stratagèmes pour échapper à leur ennemi, n'en est pas moins une fonction d'induire l'adversaire en erreur.
L'apparition du langage ne traduit-elle pas l'apparition de l'erreur, comme message erroné ou tronqué? Il faudrait se poser la question de son utilité vitale à l'évolution de l'espèce humaine : combien de scientifiques ont fait des gourdes avant de découvrir une théorie, citons le plus connu : Einstein. Karl Popper disait qu'une théorie scientifique n'est admise que si personne n'arrive à démontrer qu'elle est erronée.
L'exemple de Christophe Colomb cherchant l'Inde, et trouvant l'Amérique : pourquoi s'est-il trompé ? Parce qu'il se fondait sur une théorie vraie qui est que la Terre est ronde ; un autre navigateur qui aurait pensé que la Terre était plate n'aurait absolument pas confondu l'Amérique avec l'Inde. Ce qui est intéressant, c'est que la poursuite de la découverte de l'univers allait permettre de rectifier l'erreur de Colomb, c'est-à-dire de conformer la théorie qui avait été la source de cette erreur.
Pour beaucoup d'entre nous, l'erreur est vue comme une simple notion :ce qui n'est pas et qui doit être rejeté, mais elle doit être aussi être regardé dans le domaine de la perception ou de la représentation soumis à une multitude d'erreurs, de lacunes troublant notre perception, alors que nous en sommes inconscients. Négative, positive ou relative, l'erreur devient féconde, quelquefois vérité, soupape de libertés, à l'heure de nos sociétés tentaculaires. Lire la suite Fermer

Amoureux du monde des causes et fidèle à l'approche paramathématique de ses précédents ouvrages, P. ROBERT D'ALREBA continue de prospecter le domaine abstrait des Archétypes, des Schèmes, des Idées et des Nombres-énergies-fonctions d'où procèdent les Lois qui régissent le Cosmos et l'Humain. Nombres-énergies-fonctions qui scellent la véracité et l'authenticité de l'Enseignement des Maîtres de Sagesse.
En cheminant ainsi la Voie en quête de clés ignorées ou perdues, on explore le Nombre Huit dans tous ses états d'âme. Après avoir vérifié que l'Échiquier était d'abord, et avant tout, une figuration de l'atome, l'auteur met en parallèle l'Ogdoade hermopolitaine de lA' ntique Égypte, le Taïjitu (Tao) de la Chine ancestrale et la Tétractys pythagoricienne pour vérifier, à travers leur Enseignement respectif, la véracité des fondements de l'Échicosophie.
Dans cette vision numérale, où le Nombre informe l'Être, le Huit protéiforme semble bien être le Nombre, spécifique de l'Humain. De sorte qu'à l'image de ce dernier, et en fonction de leur devenir propre, tous les Huit sont également tous très différents les uns des autres. Dès lors, on ne saurait les regarder comme des clones. Car, s'il en existe, il est vrai, de semblables, parce qu'impubères, encore enfants, il en est d'adultes, de masculins ou de féminins,ou même d'androgynes, qui, en pleine conscience, accomplissent leur fonction cosmique au Service du Grand Être.
Plus rare encore, il est des Huit entièrement Éveillés. Ces êtres «Réalisés » représentent ce que la Tradition nomme parfois des Bouddhas !
Statut, le plus évolué de ceux qui honorent et méritent ce titre, envié des plus grands, de «Seigneur Huit». Titulature promise aux plus Hauts Initiés, celle de Thot lui-même, Dieu du Comput du Temps, Seigneur de la Lune, Fils de l'Ogdoade hermopolitaine et Neter de la Sagesse, de la Parole Créatrice, de l'Écriture et des Nombres... C'est à la rencontre de ces «mutants» mystérieux, que nous sommes tous potentiellement, en Essence et en Vérité, que nous invite le présent livre. Lire la suite Fermer

Lorsque Armand se rend chez son ami libraire, il ne sait pas encore que celui-ci lui a mis de côté quelques ouvrages du XIXe siècle. Parmi eux se trouve un document plus récent, un texte dactylographié en langue française. Armand va y découvrir des secrets concernant la production d'énergie électrique ; mais d'autres personnes vont chercher à les lui voler...

Livre I : Cet ouvrage est vraisemblablement le premier à éclaircir, par une nouvelle approche, ce qui a été oublié depuis 4000 ans : les bases fondamentales de la théorie des Six Énergies de la Tradition Chinoise. Qui aurait cru que le Nei Tching Sou Wen, texte le plus ancien de la médecine chinoise, était codé ? Et que le Yi-King, cette autre oeuvre traditionnelle, pouvait servir d'instrument de décodage ? Le mérite de l'auteur est d'avoir réuni la médecine, la prospective et l'astronomie avec pour outil intellectuel unique, l'analogie, méthode traditionnelle de la Chine ancienne. Ces recherches ont abouti à une connaissance détaillée du fonctionnement de nos horloges biologiques en relation avec les rythmes cosmiques. Des applications médicales étonnantes en découlent.

Livre II : La médecine chinoise expose les lois des cycles cosmobiologiques dans un langage particulier issu d'un mode de pensée entièrement différent de la démarche intellectuelle de l'Occident contemporain. Dr Serge Desportes a décrypté les grands axes d'un langage enfoui dans le texte du Nei-Tching Sou Wen, en employant la mathématique symbolique du Yi-King. L'auteur, aborde l'approche diagnostique et thérapeutique, qui découle de cette « redécouverte » des lois des cycles, dans une expression accessible à l'homme contemporain. Il a élaboré l'hypothèse de la « faille pathogène » qui s'avère être une ouverture toute nouvelle, permettant d'élargir nos conceptions sur l'origine de la plupart des maladies chroniques. Il a mis en évidence l'existence de niveaux cycliques dont les jalons visibles et quantifiables sont les étoiles, les planètes et les luminaires, sources d'une chronobiologie très élaborée.

Ces deux livres s'adressent non seulement aux spécialistes, mais aussi à l'homme cultivé et à tous ceux qui désirent connaître les bases fondamentales d'une thérapeutique de L'Homme Total entre « Ciel et Sol ».
Le Nei Tching Sou Wen dit :
«Le Ciel est à l'origine, le Sol reçoit l'énergie
et l'Homme est au croisement de ces deux termes.
Entre le Ciel qui la surplombe
et le Sol qui la supporte,
la Création atteint sa perfection dans l'Homme,
n'est-il pas vrai ?» Lire la suite Fermer

Vers la fin du XVIIIe siècle, l'évêque et éminent philosophe BERKELEY (1681-1753), atteint d'une maladie chronique trouva dans l'eau de goudron le soulagement. Il s'engagea alors à en rechercher les propriétés, et publia le résultat de ses investigations : Recherches sur les vertus de l'eau de goudron (1744-1747), ouvrage traduit en français par BOUILLIER (1745-1748).

Le goudron végétal a été employé comme médicament sous plusieurs formes. Il y a d'abord l'eau de goudron, qui est très efficace dans les cas de blennorragies rebelles ; on a vanté aussi les lavements d'eau de goudron dans la fièvre typhoïde. Ce médicament a été tour à tour préconisé contre tous les maux : rhumatisme, goutte, catarrhe, vers intestinaux, etc. Après tous ces essais, le goudron a gardé une place dans le traitement des maladies de la peau de la syphilis et de la phtisie pulmonaire. Depuis quelques années, il a été employé, avec succès contre les maladies de la gorge, sous la forme d'inhalations. Lire la suite Fermer