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La philosophie de l'histoire
Georg Wilhelm Friedrich Hegel
- Le Livre de Poche
- La Pochotheque
- 29 Avril 2009
- 9782253088523
Traduction sous la direction de Myriam Bienenstock « L'histoire mondiale est le progrès dans la conscience de la liberté » : cette leçon magistrale, quintessence de La Philosophie de l'Histoire - le livre le plus lu, peut-être aussi le plus discuté de Hegel - sous-tend toute son oeuvre.
Hegel donnait régulièrement des cours sur la philosophie de l'histoire, mais ne publia pas ses manuscrits lui-même. La nouvelle traduction française présentée ici tranche avec les anciennes éditions de l'ouvrage, qui dépendaient de compilations de notes d'origines diverses, faites après la mort de Hegel. Elle a été établie en tenant compte des recherches éditoriales les plus récentes et se fonde sur des manuscrits de Hegel et sur la copie de l'un de ses cours.
Dans un Dossier complémentaire figurent également des extraits d'autres travaux de Hegel sur l'histoire, ainsi qu'un choix de textes rédigés par plusieurs auteurs, contemporains de Hegel mais aussi postérieurs à lui, héritiers ou au contraire adversaires.
Cet ensemble fait de ce volume un exceptionnel instrument de travail sur la philosophie de l'histoire, discipline qui suscite aujourd'hui un net regain d'intérêt, à la mesure de nos questionnements sur l'histoire et sur la politique.
Cette nouvelle traduction intégrale en français des cours de Hegel par des spécialistes internationalement reconnus, constitue un événement éditorial susceptible d'intéresser bien au-delà du public des spécialistes.
Ce volume, qui s'organise ainsi :
L'Introduction dans ses trois versions (1822, texte revu en 1828 ; version de 1831 ; version de 1822/23) - Le monde oriental - La Chine - L'Inde - La Perse - L'Egypte - Le monde grec - Le monde romain - Le monde germanique.
L'édition a été préparée sous la direction de Myriam Bienenstock, spécialiste de Hegel professeur à l'Université de Tours. Les co-traducteurs sont Christophe Bouton, Jean-Michel Buée, Gilles Marmasse, Norbert Waszek et David Wittmann. -
Atlas de la philosophie
Franz Wiedmann, Peter Kunzmann, Burkard Franz-peter
- Le Livre de Poche
- La Pochotheque
- 24 Novembre 1993
- 9782253065111
L'Atlas de la philosophie prend en compte les principales civilisations et donne une vue synthétique de l'histoire de la pensée. Des planches en couleurs alternent avec un texte explicatif concis et précis pour présenter d'une manière originale et simple les grands systèmes, les grands courants et les grandes oeuvres de l'esprit. L'Inde, la Chine, la Grèce ancienne, le monde romain, la pensée arabe, les influences réciproques qui s'exercent entre les différents domaines de la connaissance et, dans le détail, les développements historiques de la réflexion occidentale : au total, c'est un tableau dynamique et complet de l'histoire de la philosophie qui est offert à la lecture. Véritable manuel d'initiation, l'Atlas de la philosophie est aussi une façon nouvelle d'aborder l'univers de la pensée.
Extraits du sommaire :
Philosophie orientale : Inde (Upanishad, systèmes orthodoxes, jaïnisme, bouddhisme), Chine (confucianisme, école du Yin-Yang, taoïsme, mohisme).
Antiquité : Présocratiques, sophistique, Socrate, Platon, Aristote, épicurisme, stoïcisme, scepticisme, néoplatonisme.
Moyen Age : Patristique, augustinisme, scolastique, philosophie arabe, Roger Bacon, Raymond Lulle, John Duns Scot, Maître Eckart, Guillaume d'Ockham, Nicolas de Cues.
Renaissance : Francis Bacon, Giordano Bruno, l'humanisme, Montaigne.
xviie siècle : Le rationalisme (Descartes, Spinoza, Leibniz), l'empirisme (Hobbes, Locke, Berkeley).
xviiie et xixe siècles : Les Lumières, l'idéalisme allemand (Kant, Fichte, Schelling, Hegel), Schopenhauer, Kierkegaard, Marx, Nietzsche.
xxe siècle : Bergson, la phénoménologie, les philosophies de l'existence, Heidegger, l'épistémologie, le structuralisme, Foucault, Deleuze, Derrida, Levinas. -
Bergson a connu une carrière à la fois brillante et traditionnelle : ancien élève de l'École normale supérieure, agrégé de philosophie, il devient professeur de lycée et soutient sa thèse, Essai sur les données immédiates de la conscience, en 1889. Maître de conférence à l'École normale supérieure en 1898, il est élu deux plus tard au Collège de France où ses cours vont attirer un auditoire considérable. En 1907, après la parution de L'Évolution Créatrice, sa réputation devient une gloire mondiale ; on parle de bergsonisme comme on a pu parler de cartésianisme ou de kantisme, plusieurs ouvrages d'importance lui sont consacrés, et la hauteur de sa pensée comme le brio de son écriture lui velent d'être élu à l'Académie française en 1914 et de recevoir en 1928 le prix Nobel de littérature.
À partir de la découverte de la durée, un nouveau spiritualisme philosophique se met en place dans son oeuvre, appuyé sur l'étude critique des sciences, mais aussi lié à une conscience animée d'un élan vital, et l'intuition va devenir un thème majeur de la doctrine de Bergson qui s'attache à fonder un pragmatisme moderne et une doctrine d'élévation de l'âme. Et cependant sa philosophie suscite des hostilités : son spiritualisme lui vaut d'être taxé d'irrationalisme, sa philosophie de la vie est critiquée par les catholiques, et sa conception du temps par Einstein. Après sa mort, il arrive qu'on voit en Bergson un philosophe académique dont il convient de se détourner, et sa pensée, pour une part passée dans le domaine commun, perd sa force incisive : c'est précisément elle qu'il convient de retrouver pour une lecture renouvelée de son oeuvre.
Cet ouvrage réunit :
L'Énergie spirituelle Durée et simultanéité Les Deux Sources de la morale et de la religion La Pensée et le Mouvant Édition de Jean-Louis Vieillard-Baron, en collaboration avec Alain Panero. -
Bergson a connu une carrière à la fois brillante et traditionnelle : ancien élève de l'École normale supérieure, agrégé de philosophie, il devient professeur de lycée et soutient sa thèse, Essai sur les données immédiates de la conscience, en 1889. Maître de conférence à l'École normale supérieure en 1898, il est élu deux plus tard au Collège de France où ses cours vont attirer un auditoire considérable. En 1907, après la parution de L'Évolution Créatrice, sa réputation devient une gloire mondiale ; on parle de bergsonisme comme on a pu parler de cartésianisme ou de kantisme, plusieurs ouvrages d'importance lui sont consacrés, et la hauteur de sa pensée comme le brio de son écriture lui valent d'être élu à l'Académie française en 1914 et de recevoir en 1928 le prix Nobel de littérature. À partir de la découverte de la durée, un nouveau spiritualisme philosophique se met en place dans son oeuvre, appuyé sur l'étude critique des sciences, mais aussi lié à une conscience animée d'un élan vital, et l'intuition va devenir un thème majeur de la doctrine de Bergson qui s'attache à fonder un pragmatisme moderne et une doctrine d'élévation de l'âme. Et cependant sa philosophie suscite des hostilités : son spiritualisme lui vaut d'être taxé d'irrationalisme, sa philosophie de la vie est critiquée par les catholiques, et sa conception du temps par Einstein. Après sa mort, il arrive qu'on voit en Bergson un philosophe académique dont il convient de se détourner, et sa pensée, pour une part passée dans le domaine commun, perd sa force incisive : c'est précisément elle qu'il convient de retrouver pour une lecture renouvelée de son oeuvre.
Cet ouvrage réunit : Lucrèce (extraits) - Essais sur les données immédiates de la conscience - Matière et mémoire - Le Rire - L'Évolution Créatrice
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La réalité de l'âme Tome 2 ; manifestations de l'inconscient
Carl Gustav Jung
- Le Livre De Poche
- La Pochotheque
- 24 Janvier 2007
- 9782253132585
Tout le monde croit connaître Jung et, pourtant, bien peu le connaissent réellement. On sait qu'il s'est passionnément intéressé à l'alchimie, à l'histoire des religions, aux philosophies orientales et, plus largement, à toutes les productions symboliques de l'humanité, en tous lieux et en tout temps. Mais son but a toujours été de comprendre aussi profondément qu'il lui était possible la psychologie de l'être humain, et la diversité de ses centres d'intérêt lui a sans doute permis de jeter quelques lumières sur le plus secret de notre inconscient. Ce volume suit Jung dans ses recherches les plus hardies - jusqu'à cette notion de synchronicité qui a fait couler tellement d'encre, jusqu'à ses interrogations sur les manifestations culturelles qui étaient les plus modernes en son temps, jusqu'à son angoisse devant la folie des hommes, qu'il s'agisse de la folie de l'individu ou, parfois, de la folie de l'Histoire... Ce second volume de La Réalité de l'âme prolonge le tome précédent (" Structure et dynamique de l'inconscient "), dans lequel Jung s'attachait à découvrir la nature de l'inconscient et à développer les notions d'" inconscient collectif " et d' " archétypes ". Michel Cazenave