Réédition d'un ouvrage publié chez Aperture en 1983. En 1970, Robert Adams et sa famille observèrent une colonne de fumée au-dessus du laboratoire national d'armement nucléaire de Rocky Flats à Denver. Après avoir en vain chercher à savoir si le noyau avait été touché, Robert Adams décida d'enregistrer l'environnement proche du laboratoire, qui pourrait disparaître si une catastrophe nucléaire arrivait. Il a alors photographié la vie quotidienne, les habitants et les activités de Denver et sa banlieue, dans l'ombre de Rocky Flats, représentant une menace toujours existante aujourd'hui bien que sous une autre forme.
Sélectionnées avec soin, les photographies de ce livret proviennent de la série rare que Robert Adams prit des Américains vivant dans la banlieue de Denver dans les années 1970, à proximité de l'usine nucléaire de Rocky Flats. Publié à l'occasion d'une exposition à Bruxelles puis à la Fondation Henri Cartier-Bresson à l'été 2018, ce petit ouvrage montre la valeur de la vie dans toute sa monotonie, à l'ombre du risque d'une catastrophe humaine.
Trois volumes qui témoignent de l'engagement du photographe pour la protection des grands espaces américains. Les deux premiers volumes présentent les clichés de Robert Adams en quelque 400 planches accompagnées de textes. Le troisième volume présente une chronologie de sa carrière, une bibliographie illustrée de ses ouvrages, des essais, ainsi que des images tirées de ses archives personnelles.
Publié à l'occasion de la première rétrospective au SFMoMA consacrée à ce photographe californien, cet ouvrage offre une plongée dans l'univers d'Anthony Hernandez. Né à Los Angeles, il photographie la Californie et ses environs depuis plus de 40 ans. entre topographie, photo sociale et grands paysages américains, et est considéré comme le photographe emblématique de Los Angeles.
Dans ce petit livre, le célèbre photographe américain, défenseur des grands espaces, saisit les zones en proie à la déforestation, comme autant de champs de batailles. Il s?intéresse ensuite aux reflets de la lumière sur la mer.
Ecrits sur une période de dix ans et publiés pour la première fois aux Etats-Unis en 1981, ces huit essais du photographe Robert Adams s'interrogent sur la place de la photographie dans l'art et dans notre vie.
Quelle est l'importance du paysage dans la société? Comment juger de la valeur d'une photographie ? L'introduction de Jean-François Chevrier situe ces essais dans l'itinéraire esthétique de Robert Adams. Elle montre le rôle de celui-ci dans une histoire américaine de l'environnement naturel et de ses représentations, et plus largement dans l'histoire de la photographie.
Publié pour la première fois par le Smithsonian en 1994, Steidl propose une nouvelle édition élargie de Cottonwoods. Les arbres sont un sujet à part entière dans le travail de Robert Adams, notamment le peuplier d'Amérique. Révérés par les Amérindiens mais sans intérêt commercial, l'arbre est victime de la déforestation pour l'agriculture et l'immobilier. Certaines des premières images de Robert Adams représentaient déjà le peuplier, qu'il ne cessera de photographier pendant ses 35 années de résidence au Colorado.
La route est un motif central dans l'oeuvre de Robert Adams (né en 1937) depuis le début de sa vie de photographe à la fin des années 1960. 27 Roads est la première publication à s'intéresser exclusivement à cet aspect important de son travail. Il comprend une sélection concise et poétique d'images de l'artiste couvrant près de cinq décennies.
A Road Through Shore Pine focuses on a series of 18 photographs by Robert Adams (born 1937), taken in Nehalem Bay State Park, Oregon, in fall 2013. Adams documents a contemplative journey, made first by automobile, then by foot, along an isolated, tree-bordered road to the sea. The passage takes on the quality of metaphor, suggestive of life's most meaningful journeys, especially its final ones. For this group of photographs, all of which were printed by Adams himself, the artist returned to the use of a medium-format camera, allowing the depiction of an intense amount of detail. Adams writes of these photographs: "The road is one that my family traveled often and fondly. Many of its members are gone now, and Kerstin and I visit the road for the example of the trees." Adams had stored this work in an archival print box on which he inscribed in pencil a line from the journal of the Greek poet George Seferis: "A marvelous road, enough to make you weep; pine trees, pine trees....".
Featured image is reproduced from Robert Adams: A Road Through Shore Pine.
À l'occasion de l'exposition On the Edge de Robert Adams, La Fondation Cartier pour l'art contemporain publie En longeant quelques rivières, première traduction française d'un ensemble d'entretiens avec le photographe réalisés par des historiens d'art, conservateurs, photographes, étudiants, écrivains et professeurs (publié par Aperture en 2006 sous le titre Along Some Rivers).
« Il n'y a pas beaucoup de grandes rivières dans l'Ouest américain, mais il y a un bon nombre de cours d'eau, de ruisseaux et de canaux d'irrigation qui ne sont autres que les racines et les branches des rivières. « J'ai photographié ce paysage ; devrais-je aussi essayer d'en parler ? De quel droit et en vertu de quelle obligation ? La seule raison, peut-être, c'est que j'ai eu la chance de voir l'Ouest quand il était encore sauvage, de telle sorte que rien de ce qui est arrivé depuis, même le pire, ne peut entièrement obscurcir la promesse qu'il porte en lui. »
Les pensées du photographe américain sur certaines de ses plus célèbres séries, les artistes qui l'ont influencé ou encore le matériel photographique.
Robert Adams est le lauréat 2009 du prestigieux prix de la fondation Hasselblad. L'ouvrage publié à cette occasion présente une série consacrée aux paysages de l'est de l'Oregon et à leurs arbres magnifiques.
Collection la plus accessible du travail de Robert Adams à ce jour, cette version espagnole du livre de l'université de Yale présente une séquence narrative éditée avec soin de plus d'une centaine de photographies à travers 45 ans d'une remarquable carrière, avec une postface de Joshua Chuang et Jock Reynolds. Robert Adams a été décrit comme l'un des chroniqueurs les plus singuliers et originaux de l'Ouest américain. Adams commence la photographie dans les années 1960 dans le but de capturer les changements topographiques rapides dont il est témoin à Denver où il vivait alors. Depuis, il a développé, au fil de ses quarante années de carrière, un style connu pour son austérité, sa particularité et sa vision nuancée. Cette sélection retrace la longue relation entre les images de Robert Adams et la vie aux Etats-Unis, une relation basée sur la beauté de l'humanité et sa communication avec la nature.