Filtrer
Rayons
- Littérature
- Jeunesse
- Bandes dessinées / Comics / Mangas
- Policier & Thriller
- Romance
- Fantasy & Science-fiction
- Vie pratique & Loisirs
- Tourisme & Voyages
- Arts et spectacles
- Religion & Esotérisme
- Entreprise, économie & droit
Support
Éditeurs
Langues
Petit Pave
-
Le destin des Juifs en Anjou (1940-1944) : L'éradication tranquille
Alain Jacobzone
- Petit Pave
- 19 Juin 2024
- 9782847127973
Le 20 Juillet 1942, 872 hommes, femmes et enfants, parce qu'ils étaient juifs, furent envoyés par le convoi numéro 8 de la gare angevine vers Auschwitz.
Dans le dispositif de l'occupation nazie en France, Angers est une ville essentielle. C'est pourquoi on y regroupe les Juifs raflés dans tout l'Ouest (dont 43 à Angers). Ainsi le convoi n°8 occupe une place particulière parmi les 77 convois déportant les Juifs de France vers les camps d'extermination. C'est en effet le seul en France, parmi les six prévus, à être parti directement de province.
« On nous emprisonna à Angers, au grand séminaire, hommes et femmes séparés. Mon père nous rejoignit deux jours plus tard : les Allemands avaient libéré ma mère... Le 20 juillet, cinq jours
après notre arrestation, on nous fit monter dans des wagons à bestiaux à la gare Saint-Laud, entassés comme des sardines dans une boîte. Au milieu du wagon, un baquet qui allait servir de tinette, et en route pour une destination inconnue... »
Henri Borlant -
Avrillé dans la guerre : 1939-1945 De l'occupation à la libération
Association Aprilis
- Petit Pave
- 13 Mai 2024
- 9782847127942
1939. La guerre déclarée, le gouvernement polonais s'exile à Angers. Avrillé, commune de près de 1 600 habitants, héberge alors dans un de ses châteaux, l'ambassadeur de France en Pologne, Léon Noël. Puis c'est l'occupation, le quotidien des Avrillais va être émaillé de restrictions, de réquisitions...
Les hommes partent au front, certains entrent dans la Résistance, ce qui en conduira à la déportation. En 1944, Avrillé, dont le terrain d'aviation est occupé par les Allemands, est une cible privilégiée lors des bombardements alliés et de nombreuses habitations sont détruites. Des Avrillais sont relogés dans une cité d'urgence qui existera encore plusieurs années après la Libération.
Comment la population a-t-elle vécu ces années de privation, les conséquences des bombardements, l'arrivée des Américains et, enfin, la Libération ? Quel a été le parcours des prisonniers, des résistants ?
Ce sont les différents aspects de cette période de guerre qui sont développés par des membres de l'Association Aprilis dans le présent ouvrage, avec l'appui de nombreux témoignages et illustrations. -
Graindacier ; la campagne sarthoise, des années 50 à nos jours
François Beaugey
- Petit Pave
- 13 Octobre 2010
- 9782847122701
Dans la campagne bocagère d'un département de l'Ouest, le paysan Camille Déret, la trentaine, travaille dans la ferme de ses parents, avec le statut social d'aide familial. Le temps venu, c'est-à-dire à la fin des années soixante, peut-il espérer reprendre l'exploitation à son compte, alors que l'agriculture traditionnelle et familiale subit les assauts répétés du modèle planifié et subventionné par les décideurs ?
GRAINDACIER et les six personnages principaux du roman placent sans ménagement le lecteur devant les contradictions de l'évolution impitoyable de l'agriculture des quarante dernières années.
Si le public contemporain admet généralement que l'agriculture productiviste n'a guère respecté l'environnement des campagnes, souvent il ignore qu'elle a sans doute ébranlé les fondements de la conscience paysanne.
-
La guerre scolaire : les rouges contre les Chouans ; une opposition marquée jusqu'au milieu du XXe siècle, en Anjou-Maine et ailleurs...
Jacques Cousin
- Petit Pave
- 17 Septembre 2020
- 9782847126563
La guerre scolaire : les rouges contre les chouans aux Editions du Petit Pavé.
La guerre scolaire : les rouges contre les chouans de Jacques Cousin.
Une opposition marquée jusqu'au milieu du XXè siècle, en Anjou-Maine et ailleurs...
Les lois républicaines et laïques de 1881 et 1882 mettent finau monopole de l'Église sur l'enseignement, rendant l'écolegratuite, obligatoire et laïque dans notre pays. Toutes choses qui semblent normales de nos jours ont déclenchés en cette fin du XIXè siècle jusqu'au milieu du XXè siècle une violence verbale et parfois physique dans tout l'ouest de la France entre les Républicains et les autres.
Elle touche à la fois les milieux politiques,religieux, laïques et par contre-coup les citoyens des villages de la Mayenne, ou ceux de la Vendée et du Maine-et-Loire...
En Mayenne, on retrouve trace de nombreux conflits (menaces, invectives, bagarres, défilés...) souvent déclenchés à l'arrivée d'une jeune institutrice publique, notamment lorsqu'existent deux écoles concurrentes dans le village, ou lorsque, pour appliquer la loi, le directeur de l'école publique tente d'enlever le Christ pendu au mur de la classe ou utilise des livres scolaires interdits par la hiérarchie catholique.
Depuis une quarantaine d'années, les rivalités entre les deux systèmes d'enseignement se sont atténuées, mais perdurent toujours, sous-jacentes. Aujourd'hui, le terme d'armistice serait plus adapté, mais de temps à autre, comme en 1962 ou en 1984, des pics plus aigus resurgissent. -
Paris humilie - 1940-1941 - - chronique photographique inedite en 101 cliches
Hude Albert
- Petit Pave
- 7 Septembre 2020
- 9782847126587
-
Gloire aux vaincus - la guerre de 1870 dans l ouest
Martin Van Der Haege
- Petit Pave
- 16 Décembre 2022
- 9782847127478
19 juillet 1870. L'empereur Napoléon III répond à un imbroglio diplomatique lancé par le Royaume de Prusse en déclarant la guerre à une coalition germanique qui donnera naissance à l'Allemagne. Cette guerre, qui sera perdue par la France en 1871, se résume souvent au niveau national par ces grands événements : la chute de l'Empire, la restauration en France de la IIIe République, la résistance du peuple parisien avec la Commune de Paris, la naissance de l'Allemagne, et les prémices de la Première Guerre mondiale... Ses répercutions dans les provinces françaises restent souvent méconnues dans nos mémoires collectives.
Cet ouvrage remet en valeur les traces qu'a laissées cette guerre dans l'Ouest de la France. D'abord en relatant l'histoire de ces grands héros, comme le général Chanzy, les hommes mobilisés (les « Moblots »), ou les francs-tireurs...
Puis en parcourant les cimetières, parcs, places de nos villes et villages de l'Ouest de la France, à la recherche des statues, monuments et autres marques de commémorations de cette guerre souvent oubliée.
C'est aussi le parcours personnel de son auteur, randonneur insatiable des villes, photographe de statues et de plaques commémoratives, de cimetières... ce qui lui permet d'appréhender le passé pour comprendre le présent et le partager. -
-
Souvenirs d'en France d'un petit Breton ; une enfance en Bretagne dans les années 50
Jean-claude L'hôtellier
- Petit Pave
- 20 Septembre 2010
- 9782847122411
L'auteur a passé enfance, jeunesse et vie professionnelle en Bretagne.
Il témoigne dans cet ouvrage de la vie dans les années cinquante, parfois sans complaisance, parfois sur un air de chanson... Pour des raisons de santé, un petit garçon de la ville est envoyé dans la campagne bretonne, qu'il découvre. Il raconte son séjour, décrit la vie des paysans, des travaux de la ferme, de ces personnages rustres. De retour dans la grande ville, il décrit alors la pauvreté des familles dans les années 50, la crise du logement, le manque d'affection entre les êtres et la place de la religion qui régit la vie, la scolarité, la solidarité, sans oublier les vacances et les fêtes...
-
La colonie de Précigné ; camp d'internement pour "indésirables" de 1914 à 1919
Collectif
- Petit Pave
- 1 Octobre 2009
- 9782847122251
C'est dans l'ancien Petit Séminaire désaffecté de Précigné (Sarthe) que sont internés des individus qualifiés d'indésirables dès 1914.
La Colonie, appelée également camp de concentration (terme officiel de la Préfecture) a reçu 2 116 hommes, femmes ou enfants, de 40 nationalités différentes, de décembre 1914 à décembre 1919. Ces personnes étaient internées pour une durée plus ou moins longue. Le plus souvent, ce sont des individus soupçonnés d'espionnage, des prisonniers de droit commun, des anarchistes ou antimilitaristes, des syndicalistes, des filles aux moeurs légères, ou bien des marchands ambulants. De plus, le seul fait de parler une langue étrangère, en particulier l'allemand, faisait de tout individu un suspect à écarter de toutes urgence du reste de la population. Pourtant, on retrouve parmi ces gens quelques étrangers tout simplement venus passer leurs vacances en France (c'est le cas de l'écrivain hongrois Aladar Kuncz), ou des travailleurs installés depuis plusieurs années dans les entreprises françaises, ainsi que des Belges, Alsaciens-Lorrains, Luxembourgeois et Français évacués des zones sensibles.
Ces « indésirables » ont été détenus à Précigné, seul village de la Sarthe possédant une structure disponible et capable d'accueillir autant de personnes.
En France, à l'époque, on dénombre plus de 70 camps plus ou moins similaires à celui de Précigné.
-
Histoire de gorron - vers l'an 2000 - 1939-1999
Jouvin Jean-Claude
- Petit Pave
- 20 Décembre 2016
- 9782847125191
-
Le maquis de la ferte vidame - la resistance meconnue du perche
Hude Albert
- Petit Pave
- 10 Octobre 2002
- 9782847127355
2 Février 1944. Il est 22 heures devant le château de Tardais occupé par les SS lorsque deux jeunes Bretons, réfractaires au Service du Travail obligatoire (STO), tentent de faire du stop pour regagner la ferme familiale des Loquets gérée par Alain Le Noc.Ils rentrent de Bretagne où ils se sont cachés plusieurs mois. Une voiture arrive de Senonches et s'arrête. Les jeunes se parlent en breton pour ne pas attirer l'attention et le couvre-feu va débuter, ilfaut se dépêcher. On les balance dans l'étang et on prend la voiture, annonce Joseph à son cousin. Mais dans la voiture, une voix répond en breton : Fais pas le couillon Joseph, c'est ton père qui te parle.Effectivement, Alain Le Noc (accompagné de Mary Thibault de Morvilliers, qui sort de 47 jours de prison allemande pour faits de résistance) est conduit aux Loquets par René Dufour, directeur départemental des vétérinaires et soutien actif des civils clandestins qui mettent sur pied un noyau de résistance dans la région.Cette rencontre sonnera le début de la construction du maquis de la Ferté Vidame avec, dès le lendemain matin, la livraison à Joseph de deux mitraillettes Sten par Gabriel Herbelin et Jean Renauldon qui deviendront les piliers de la résistance clandestine liée à Libération-Nord en Eure et Loir.Deux mois plus tard, Joseph a recruté un groupe de jeunes ouvriers agricoles qui vont former le premier noyau du maquis. Lorsque le débarquement allié survient, ce sont 50 maquisards qui agissent militairement de nuit sous la direction de Gustave Roussel, gendarme déserteur. Le maquis donnera du fil à retordre aux Allemands qui dépêcheront, fait unique en Eure et Loir, une brigade SS de répression contre les maquis forte de 300 soldats. Jean Rousseau, Georges Collet, Marcel Bravo seront capturés et exécutés par cette brigade, sans jugement et après avoir subi la torture.
-
Exode et résistance aux Ponts-de-Cé : mai-Juin 1940 : les combats sur la Loire ; des tirailleurs sénégalais aux débuts de l'occupation
Pierre Davy
- Petit Pave
- 17 Juin 2023
- 9782847127638
Mai-Juin 1940, des mois qui évoquent des heures tragiques au niveau national mais qui ont aussi laissé de sombres souvenirs au plan local. C'est ce que cette étude veut rappeler plusieurs décennies après les faits, à partir de témoignages et sources de l'époque.
Pour beaucoup ce fut ici, aux Ponts-de-Cé, le passage de la Loire pendant l'exode que le poème C de Louis Aragon évoque peut-être encore pour certains. Ce que l'on connait moins c'est le combat des tirailleurs sénégalais du 19 au 21 juin 40 rapidement occulté alors que la lutte des cadets de Saumur à quelques kilomètres de là a pris valeur de symbole national.
Il ne s'agit en aucun cas de rivaliser, de comparer ces deux lieux angevins de résistance militaire mais plutôt, par devoir d'histoire, de ne pas oublier le combat héroïque de ces combattants d'Afrique dont quelques-uns ont laissé leur vie sur les rives de la Loire. -
Femmes angevines sous la IIIème République : à l'aube d'un temps nouveau... des pionnières oubliées.
Collectif
- Petit Pave
- 17 Juin 2023
- 9782847127621
Sous la IIIe République et jusqu'en 1945, les possibilités des femmes sont limitées tant par leur situation légale que par l'opinion publique.
Cependant des femmes ont voulu, malgré les contraintes, être présentes dans la société, avoir une vie publique, agir pour mener à bien leurs projets dans leur domaine de prédilection, les arts, les lettres, l'enseignement, l'action sociale, la santé ou le sport.
L'ouvrage met en lumière des personnalités féminines angevines - certaines célèbres, la plupart peu connues - dont l'action, hors du foyer a contribué à faire évoluer les représentations mentales.
Ces pages brossent, sur deux générations, de beaux portraits de femmes engagées pour le droit et la justice sociale. Avant la Grande Guerre émergent les figures de Félicité Glétron et de Marie Robert ou de Lucie Chenot-Laboulais et ses consoeurs dreyfusardes. Dans l'entre-deux guerres, celles de Germaine Couchoud-Boumard et de Lucie Louïse-Canonne dont l'investissement en faveur des familles pauvres est reconnu publiquement.
A quelques exceptions près, comme Louise Mulot, Georgette Boulestrau, certaines religieuses et institutrices, qui se sont forgé leur destin, nos dames appartiennent à la bourgeoisie. Elles ont bénéficié d'un milieu familial porteur et probablement d'une éducation soignée comme en témoignent leurs écrits.
Une trentaine de biographies sont étudiées ici dans leur contexte historique et celui de la vie de la cité. Ces parcours, tous exceptionnels certes, présentent cependant un visage féminin d'Angers à une époque de transition entre une société qui surévalue le masculin et une société qui s'ouvre au féminin. -
Août 1944 : combats et libération des Ponts-de-Cé et de Mûrs Erigné
Madeleine Chanteux
- Petit Pave
- 30 Août 2014
- 9782847124224
"Le général Patton se méfiait beaucoup d'une petite ville au sud d'Angers avec ses quatre ponts : Les Ponts-de-Cé. Pendant la guerre, il y avait plusieurs centaines d'hommes et d'officiers allemands entre Mûrs-Erigné et les Ponts-de-Cé. Après le débarquement des Alliés en Normandie, ont eu lieu d'intenses bombardements dans cette zone, entre le 28 mai, la nuit de la Pentecôte, et le 30 août. A un moment, la zone fut coupée en deux : la partie nord était sous le contrôle allemand. Angers a été libérée le 10 août, mais Patton ne s'intéressait qu'à la rive droite, et aux Ponts-de-Cé les Américains ne franchissaient pas la Loire et ne poursuivaient pas les Allemands en direction de Mûrs-Erigné....
Les Allemands ont fait régner la terreur : les habitants étaient chassés de chez eux, sous des tirs incessants. Le 20 août, les Allemands ont mené une contre-offensive, repassé la Loire, détruit le poste de contrôle américain, pris 128 personnes en otage, et lorsque Hitler ordonna aux troupes de regagner le Reich, les soldats laissèrent partout des champs de mine, des pièges, des bombes et des projectiles non éclatés..." Nombreux témoignages. -
-
Le corps franc d'Indre et Loire ; 1re compagnie du 20e bataillon de chasseurs alpins
François Rozier
- Petit Pave
- 15 Septembre 2016
- 9782847125085
Le corps franc d'Indre-et-Loire trouve ses racines dans la Résistance tourangelle. Après la libération de Tours, 212 jeunes volontaires signent un engagement et rejoignent dans les Vosges la première armée commandée par le général de Lattre de Tassigny. Hier "combattants de l'ombre", ils luttent enfin en pleine lumière. Ces soldats ont pour seule obsession de chasser l'occupant du territoire national. Début 1945, ils intègrent le 20e bataillon de chasseurs alpins du commandant Vigan Braquet mais, jusqu'à la fin de la guerre, ils ne s'embarrassent guère de discipline et entretiennent la tradition des corps francs. Le lieutenant Louis Planchard, dit "p'tit Louis", homme de caractère, sert de guide pour raconter l'épopée de ce groupe d'hommes déterminés ; pour nous entraîner dans la traversée d'un monde dévasté par la barbarie où l'héroïsme côtoie les actes les plus méprisables. Depuis la Libération, que ce soit en Indre-et-Loire ou dans le Doubs, on se souvient chaque année de ces "morts pour la France", mais on connaît peu le parcours du corps franc d'Indre-et-Loire. Avant que la mémoire ne se perde, ce livre vient révéler cette histoire et rendre hommage à tous ces défenseurs de la liberté. Ce récit historique repose sur des témoignages et des documents d'archives. Il se veut au plus près des faits mais il n'est qu'un point de vue sur une réalité... à chaque franc-tireur son histoire !
-
Le Maine-et-Loire dans la seconde guerre mondiale 1939-1945
Collectif
- Petit Pave
- 5 Avril 2007
- 9782847121315
-
Dans les pas du maréchal Leclerc et du capitaine Dronne
René Couëdel
- Petit Pave
- 8 Novembre 2006
- 9782847121155
René Couëdel est né à Nantes.
En 1943, alors qu'il termine ses études secondaires, René Couëdel est contraint d'aller travailler comme maçon à Francfort-sur-le-Main. Au cours de ce voyage vers l'Allemagne, son train ralentit, un peu avant Sablé-sur-Sarthe. il décide d'abandonner le convoi, car il refuse de participer au STO. Il commence alors une délicate partie de cache-cache pour échapper aux autorités qui le recherchent, il vit pendant plusieurs mois dans les forêts de Mézeray et de Malicorne.
Il entre dans la Résistance grâce à Jean Cureau de Coulongé. Il devient agent de Liaison pour le mouvement " Libération-Nord ". Le 8 août 1944, lorsque l'armée de Patton arrive dans la région de Noyen-sur-Sarthe, René Caoüdel informe les Américains des positions allemandes. En septembre, il s'engage dans les troupes FF1, qui viennent grossir les rangs des Français Libres et qui combattent en Lorraine et en Alsace.
C'est là, lors des combats autour de Colmar, qu'il est gravement blessé au genou. C'est à cette époque qu'il rencontre le Capitaine Dronne, son commandant d'unité. après la guerre, il retrouve la Sarthe. Parallèlement à ses occupations professionnelles. Il devient pendant plus de 20 ans, l'un des plus proches collaborateurs de Raymond Dronne, dont il rappelle l'épopée dans cet ouvrage, ainsi que celle de son chef, le Maréchal Leclerc de Hautecloque.
Deux parcours indissociables dans cette période historique de Libération de la France.
-
-
La republique en touraine et la commune de paris (1870-1873)
Ppp Julien
- Petit Pave
- 30 Janvier 2015
- 9782847124385
-
Des histoires de solidarité, des origines à nos jours
Secours Populaire
- Petit Pave
- 17 Octobre 2016
- 9782847125047
Des histoires pour conter la grande Histoire. C'est le moyen qu'ont choisi les auteurs de ce livre pour faire découvrir le Secours populaire français de Maine-et-Loire, né en 1945. Ce récit doit beaucoup à l'engagement d'un couple pendant un demi-siècle : les Trélazéens, Bernard et Juliette Marais. Mais ils n'ont pas été les seuls. A chaque époque, l'association a vu se lever des bénévoles qui ont lutté pour faire naître plus de justice. Ce livre raconte des histoires de solidarité. Elles ont pour théâtre aussi bien Angers que Saumur, Cholet ou Trélazé. A travers elles, c'est un peu d'histoire de France que chacun de ces témoins nous livre. Dans les débuts du Secours populaire, on retrouve le rôle omniprésent du Parti communiste. Puis lentement, mais sûrement on voit en Maine-et-Loire l'association prendre son autonomie vis-à-vis du Parti. Cela demande une génération et est effectif autour des années 80. Cette évolution accompagne aussi des moments plus délicats, notamment au cours de la décennie1985-1995. A l'aube du XXIe siècle, le Secours populaire se professionnalise. Aujourd'hui, il compte quatre permanents. Mais aussi quelque 700 bénévoles sur l'ensemble du département. Des acteurs indispensables pour faire vivre la devise de l'association "Tout ce qui est humain est nôtre".
-
La fusillade de fourmies ; massacre des ouvriers, 1er mai 1891
Claude Willard
- Petit Pave
- 1 Septembre 2018
- 9782847125733
Le silence sur la répression sanglante de Fourmies en 1891 est caractéristique de la place donnée à la classe ouvrière de France dans les livres d'Histoire.
Ce livre de Claude Willard, dont la première édition date de 1957, retrace ce drame local de Fourmies, centre lainier important du département du Nord où filatures et tissages drainent en cette fin du XIXe siècle plus de dix mille ouvriers, hommes et femmes.
-
Les fusilles de belle-beille - 21 fevrier 1942 - 7 juin 1944
Collectif
- Petit Pave
- 7 Septembre 2020
- 9782847126648
-
L'engagement mémoriel : Transmettre un difficile et douloureux héritage
Collectif
- Petit Pave
- 2 Avril 2024
- 9782847127836
Hélène Cabrillac, fille de Résistant, voit son père arrêté en 1943. Louis Legendre sera conduit en prison, torturé puis envoyé au camp nazi de Bunchenwald.
Hélène avait trois ans et demi en avril 1945, lorsqu'elle comprend que son père ne reviendra pas. Ce drame la marquera à vie et la conduira à témoigner et poursuivre le devoir de mémoire des ces hommes et femmes disparus dans leur combat de Résistant. Elle devient vice-présidente de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation, et membre du jury du CNRD (Concours National de la Résistance et de la Déportation). C'est dans ce cadre qu'elle rencontre les élèves du lycée Saint-Benoît d'Angers, récompensés pour leur travail sur Les fusillés de Belle-Beille (paru aux éditions du Petit Pavé en 2020).
C'est cette même équipe pédagogique qui a accompagné des élèves du lycée dans la réalisation de cet ouvrage, revenant sur le destin de Louis Legendre, sur leur rencontre avec Hélène Cabrillac, et la participation à un travail d'hommage aux derniers Résistants disparus ces dernières décennies.
Un ouvrage complet qui à travers une rencontre et l'engagement d'enseignants revient sur le pourquoi de la nécessité de se souvenir du passé, de notre Histoire, sur l'importance du témoignage et la nécessité de conserver la mémoire de ces époques si sombres.
« Ces plaques, ces monuments sont, aujourd'hui, les empreintes de l'histoire mais, plus encore, l'écriture indélébile d'une promesse : celle de l'engagement pour que triomphe le NON à la barbarie et le OUI à ce que les hommes et les femmes ont de plus précieux : la liberté et la dignité. Dans cette Europe que l'on pensait définitivement en paix, cet engagement reste d'une terrible actualité.
La dignité et la liberté n'ont ni lieux, ni date, ni âge car hier comme aujourd'hui hélas et sans doute, demain elles se fondent dans un même et éternel combat. »
Dominique Philippe,
professeur d'histoire-géographie,
enseignant au lycée Saint-Benoît